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CHRONIQUE

lundi 28 février 2011

Chronique 02/2011

La chronique d'Elodie - février 11 La procrastination est la tendance pathologique à remettre systématiquement au lendemain quelques actions (qu’elles soient limitées à un domaine précis de la vie  quotidienne ou non). Le « retardataire chronique », appelé procrastinateur, n’arrive pas à se « mettre au travail », surtout lorsque cela ne lui procure pas de satisfaction immédiate. Incroyable ! le "retardataire chronique" ! "Chronique" ! Cette définition est faite pour moi !!! Et bien oui, j'assume, je procrastine... enfin, je en fais pas que ça, hein,  j'ai une vie active quand même ! Et je dois quand même reconnaître que, lorsque, malgré le travail et les préparations de classe (ben oui, faut vous y faire, les instits ont aussi  des devoirs à la maison), les enfants et leurs propres devoirs, les courses, le ménage, les repas, les histoires, les séances de déguisement, les allers-retours au gymnase, au conservatoire,  au tennis, à la piscine, la soirée Friends indispensable, les mails à écrire, les coups de fil à donner, les joies et les soucis à partager, l'inspection à préparer, l'homme de ma vie à dorloter.... j'arrive ENFIN à boucler ma chronique, j'éprouve une "satisafction immédiate" ! Nos vacances aquatiques Une petite Younette encore jeunotte pour chausser les skis, et des parents pas du tout décidés à devoir confier leur plus jeune à une garderie pendant une semaine,  ça fait une famille EloChris qui, une fois encore, s'embarque pour des vacances d'hiver à Center Parcs. Après la Sologne, la Noramndie et l'Aisne, cette année nous avons tenté le nouveau  domaine situé en Moselle. Traditions respectées : un  AquaMundo merveilleux, adapté à tous les âges, avec surtout un  "coin petits" vraiment sympa pour barboter  tranquille quand on n'est pas très grand,  un  bassin extérieur pour profiter de la fraîcheur ambiante !, un  arbre à eau toujours aussi attractif et rigolo et une  rivière sauvage qui remporte encore une fois la palme des préférences  enfantines. Christophe et les gars ont d'ailleurs, en nocturne, battu leur record d'enchainement de descentes : 34 ! Bande de fous ! Mais nous avons aussi apprécié les nouveautés, comme le  mur d'escalade  ou les tunnels à bouées où chacun s'est éclaté en solo, duo voire plus ! Version "hors eau", nous avons profité de la petite ferme et du  Baluba où nos batailles de  canons à balles resteront longtemps dans les mémoires... MAIS.... ça ne s'annonçait pourtant pas si cool... En effet, la veille du départ, notre Younette mignonette décide de se mesurer à la gastro, savamment évitée jusque là; bilan : gastro 1, Youne 0, avec une nuit très agitée et un départ sans fanfare, le jour des 3 ans de cette pauvre puce ! Notre pause dîner, au cours de laquelle nous avions prévu de "fêter" l'événement, est une corvée pour elle  qui ne peut rien avaler et réclame sans cesse les bras. Nous n'attendons même pas le dessert et c'est  sur un croûton de pain que nous plantons ses 3 bougies, avant de reprendre la route  vite fait. Malgré une arrivée très tardive et une nuit encore en pointillés, notre moral est au beau fixe quand, au matin, nous découvrons  un soleil radieux... dont nous ne profiterons guère, puisque je  passe la matinée chez le médecin, avec une Marionnette brûlante de fièvre ! Tandis que je reviens avec tout l'attirail médicamenteux, je découvre la poussyclette fabuleuse louée par Christophe : pour pouvoir profiter de son propre vélo, il a choisi un modèle de  poussyclette à assistance électrique ! Et c'est donc  moi qui joue les chauffeurs, avec des pointes à 30km/h sans forcer sur les mollets !  le pied ! C'est donc sans fatigue que nous découvrons le domaine et  les abords du "Paradis Aquatique". Les premiers jours sont marqués par le  débordement d'énergie et d'enthousiasme des enfants... à l'exception, donc,  de notre benjamine qui joue les bébés koalas, toujours dans les bras de l'un de nous. Si elle n'avait pas une  petite mine de papier mâché, je dirais que c'est plutôt doux, les heures passées au  bord de la piscine avec elle tout contre moi ! Heureusement, les médicaments  finissent par agir et nous retrouvons notre toute petite plein d'entrain et tout sourire.... tandis que c'est au tour de Coccinelle de "profiter" de la gastro !!! Relation de cause à effet ?  Une deuxième dent se détache du lot, apportant une petite consolation sous l'oreiller par l'intermédiaire de la petite souris. A propos de souris, j'ai oublié de vous parler de celle qu'avec  effroi j'ai découvert...  dans la poubelle, en voulant mettre un sac propre ! (Pour la petite blague, Paul l'avait "découverte" avant moi, mais l'avait confondue avec - je cite- "une pêche pourrie" !) Grand moment de joie familiale, les enfants voulant l'adopter pour la mettre avec les gerbilles (vous m'avez bien vue là ?) ! Heureusement que j'ai eu le dernier mot ! Bref, c'est donc en famille un peu éclopée que nous prenons possession des lieux... jusqu'à ce que les renforts inattendus arrivent ! Comme quoi, dans la vie, il faut s'attendre à tout : en mars 2002,  nous passions notre première semaine de vacances à Center Parcs, avec Alex, Nathalie, leur petite Ophélie de 5 ans et leur mini-Brice de 3 ans. Et devinez qui est-ce qu'on retrouve, même ambiance,  même style, près de 9 ans après ??? Ben oui, bingo,  eux ! Ce n'était pas prévu, mais ça a été super : les enfants ont tout de suite accrochés, les discussions ont repris comme si on s'était vus  hier (notre dernière rencontre remontait à 3 ans !), Christophe et Alexandre sont retombés en adolescence... bref, on s'est éclatés tous ensemble et c'était génial ! Où sera-t-on l'an prochain ??  Retour au calme .. et à la maison, où nous pouvons enfin célébrer dignement  les 3 ans de Marion, autour d'un  "vrai gâteau" décoré avec amour par  ses frères et  soeur.  Un joli cadeau surprise attendait la miss, avec une sortie à Disney en compagnie de  son "pa''ain Kitof", de Marielle,  Anaïs,  Mathilde, mamie Christiane et... la pluie. Mais alors, quelle pluie ! Nous, braves,  on n'avait même pas regardé la météo ! Résultat : il a fallu acheter pour qui, des chaussettes sèches, pour qui, un chapeau de pluie, pour qui, un poncho... de quoi assurer les "beaux jours" de  Mickey ! Mais même les trombes d'eau n'entament pas notre enthousiasme... même si, après un  bon repas réparateur, nous avons apprécié d'apercevoir  une petite éclaircie...  Marion, qui ne perd jamais le nord, a outrageusment squatté les  épaules de son parrain, sous prétexte que elle, elle avait  "des tout pitis pieds" ! Mais comme elle est aussi très généreuse, elle a donné de sa personne dans la Maison Hantée, et elle le raconte très bien : "Pa''ain il a pas eu peu' dans la Maison Hantée passque moi je donnais les 2 mains et j'étais su' ses ginoux, alo' il a pas peu' !"; chapeau bas, Christophe, retourner ainsi la situation aux  yeux d'une petite fille trouillarde, c'est vraiment très fort !!!   La douceur des jours C'est quand un grand frère et une petite soeur, qui souvent s'entendent comme chien et chat, partagent un  moment complice autour du piano, l'un  apprenant à l'une à jouer une jolie petite mélodie... C'est quand un papa joueur profite des vacances pour aider ses fils à perfectionner leur technique au  poker... C'est quand un papa gourmand et gourmet initie sa  fillette aux joies et aux secrets de la  réalisation des makis-maison...  régal assuré ! C'est quand un papa sportif joue pour une fois "à domicile", et que sa  petite famille peut aller l'encourager et le découvrir dans son rôle  d'entraîneur... et qu'en plus, l'équipe gagne le match ! C'est aussi quand une maman-maîtresse bien stressée revient de son inspection avec le sourire parce que finalement elle n'a pas été dévorée toute crue et qu'elle s'est sentie reconnue dans  son travail, ce qui n'arrive pas tous les jours ! Merci à tous ceux qui m'ont supportée (à tous les sens du terme !) Les potins  Bienvenue à Noah chez Adeline et Bertrand; beaucoup de bonheur à tous les 3, et autant pour le reste de la famille ! Très grand merci à Stéphane pour nous avoir prêté son super appareil photo waterproof, résistant aux chocs, ultra léger et tout et tout... le photographe a apprécié !  Un salut particulier aux JMJ... notre dernière (première ?) réunion m'a enfin donné l'énergie de me lancer dans cette chronique ! Comme quoi,  une bonne discussion tardive, ça porte toujours des fruits !

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ALBUM

lundi 28 février 2011

Février 2011

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CHRONIQUE

lundi 31 janvier 2011

Chronique 01/2011

La chronique d'Elodie - janvier 11 Le dimanche soir ! On ne met pas la table, on ne fait pas un vrai dîner. Chacun va tour à tour piocher au  hasard de la cuisine un casse-croûte encore endimanché.[...] Les amis sont partis sur le coup de six heures.  Il reste une longue lisière. On fait couler un bain. Un vrai bain de dimanche soir, avec beaucoup  de mousse bleue, beaucoup de temps pour se laisser flotter entre deux riens ouatés, brumeux. [...] Surtout ne pas penser à la semaine qui s'achève, encore moins à celle qui va commencer.[...] Et puis, quand tout est vide, s'extirper enfin. [...] Et c'est là qu'elle vient, la petite mélancolie.[...] On se retrouve ailleurs,  parfois jusqu'à l'enfance, avec de vagues souvenirs de promenades à pas comptés, sur fond d'inquiétudes scolaires et d'amours inventées. [...] C'est fort comme une pluie d'été, ce petit vague à l'âme qui s'invite,  ce petit mal et bien qui revient, familier - c'est le dimanche soir.   Philippe DelermLa première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules Vous le connaissez, vous aussi, ce petit vague à l'âme du dimanche soir ? Pour moi, c'est un invité hebdomadaire... même si de temps en temps j'aime bien penser à la semaine -  ou au mois - qui vient de s'achever... Pales, hélices et rotor Le Père Noël avait, cette année encore, déposé un  joli cadeau dans les petits souliers de Christophe... un nouvel engin  plus grand, plus beau, plus fantastique que les précédents... de quoi garantir des heures de jeu à mon grand enfant de mari. Hélas, la mécanique de précision c'est  beau, mais c'set fragile... et, pour une heure de jeu, autant sont à compter en réparations, rafistolages et réassemblage en tout genre ! Mais bon, il aime ça,  il s'éclate, et c'est bien l'essentiel !  Un Noël après Noël Prolongations en effet avec la venue de papi et mamie, au cours de leur virée "dans le grand Nord"; quel plaisir  là encore  d'ouvrir de nouveaux paquets, certains très très attendus (n'est-ce pas Louis, qui n'osait plus croire à son Encyclopédie Lego starWars !).  Mais comme le mois de janvier est bien là, on en profite pour fêter les Rois autour d'une  galette maison, confectionnée avec amour par  une mamie et sa toute-petite fille.  On se régale, on compte les calories engrangées, et on se dit qu'elles attendront bien février pour disparaître ! Tournois inévitables de Uno (où tous les participants  s'auto-proclament vainqueur !), interminables discussions existentielles qui font du bien, grande provision de jeux et de câlins avec les enfants... Merci pour ce  passage les montagnards, et on se met à "votre" chambre dès que...possible !   Les "grandes premières" de janvier 2011 Ca arrive à tous les enfants, on le sait, on est déjà passés par là avec nos petits hommes, mais c'est toujours un peu émouvant quand la chute de la première quenotte s'annonce... Pour Coline, tranquillement, une dent qui bouge, on l'asticote un peu, on joue à la sorcière en se faisant  des grimaces  bouche ouverte dans la glace.. et boum ! sans prévenir c'est la chute ! Quelle fierté pour  ma petite "berchue", et quelle joie avec la piécette du matin ! Une nouvelle tournée  de petite souris est inaugurée... Quelques années de plus, d'autres chutes annoncées : celles de notre apprenti skieur Paul, heureux participant à la classe de neige de son école. Tout  heureux de partir avec ses potes, excité comme  une puce, un peu ému quand même au point de dire vite vite au-revoir (trop vite à mon goût !!) avant de s'engouffrer dans le bus... Mais au retour, que de belles choses à raconter,  un flocon à exhiber, des souvenirs à distribuer... et sa place à retrouver, gardée au chaud par tous les autres restés à la maison... 10 jours de séparation, ce n'est rien, mais quel bonheur les retrouvailles ! Tribu -1 On a hésité, vraiment... amputée d'un de ses membres, notre famille pourrait-elle oser franchir les grilles de Disney ?? Ben oui, en fait... malgré  les réticences de Louis, qu'il a fallu calmer en promettant l'achat d'un souvenir pour son frère ! Il faut dire qu'il faisait doux, pas trop moche... et bien nous en a pris, car après une rencontre  VIP avec  Pluto, nous avons découvert un parc très calme, presque vide au regard de la densité de nos dernières visites ! Du coup, nous avons  flâné tranquillement, laissé  Marion et  Coline faire  leurs armes auprès d'Excalibur (tandis que  Louis, pour la X° fois, tentait l'impossible !), et savouré le plaisir de se faire peur dans la  Maison hantée qui, toute  hantée qu'elle soit, ne manque pas  d'humour ! Les potins Quand on dit que la forêt recule... ma petite Coline-écolo reboise le monde, à sa façon, avec de  superbes arbres en KAPLA !2011 nous apportera-t-elle le retour de la chronique des CaroChris ?? On y croit, tout est encore possible ! Janvier 2011 fut en tout cas le retour des JMJ ! Tradition oblige... c'était  autour d'une table, bien garnie de surcroit ! Pour la nourriture spirituelle, on repassera, mais il faut un début à tout !!!

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lundi 31 janvier 2011

Janvier 2011

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CHRONIQUE

vendredi 31 décembre 2010

Chronique 12/2010

La chronique d'Elodie - décembre 10 Oh, quand j’entends chanter Noël, J’aime à revoir mes joies d’enfant, Le sapin scintillant, la neige d’argent, Noël, mon beau rêve blanc ! Oh, quand j’entends sonner au ciel L’heure où le bon vieillard descend, Je revois tes yeux clairs, Maman, Et je songe à d’autres Noëls blancs.  S'il y a bien une année où ce chant était de circonstance, c'était bien celle-ci !  La neige en effet était au rendez-vous pour  accompagner ces fêtes de Noël et toute l'attente qui les a précédées... De quoi m'aider à "revoir tes yeux clairs, maman" en navigant de mes souvenirs d'enfance  à ceux que nous essayons de créer pour  nos enfants... Ultime chronique de 2010, toute simple, emplie d'événements familiers et pourtant toujours redécouverts... Grâce de l'enfance dans nos vies d'adultes... Sous les flocons Nous fûmes donc enneigés; et pas qu'un peu ! Vous avez tous dû le vivre, ou le suivre à la télé, les routes bloquées,  les voitures à la queue leu leu, les conseils de prudence maintes fois répétés... Signe encore une fois de la présence de Dieu, j'étais en vacances lorsque le plus "gros" est tombé... je n'ai donc pas fait partie de tous ces pauvres hères bloqués sur les routes, victimes ou responsables des accidents paralysant la circulation... J'ai donc pu m'adonner à la prière frénétiquement pour demander le retour de mon homme, sain et sauf, au bercail, en  ce "mercredi noir". Prière exaucée : 3 heures de glissades/patinage pour parcourir ses 15km, mais il a fini par arriver ! Dès le début d'après-midi, tandis que Coline était au cinéma avec une copine, mes  trois autres lascars prenaient possession du jardin pour y établir un  camp retranché, prélude à une bataille de boules de neige  devant avoir lieu "dès après" l'arrivée de leur géniteur... autant dire que la partie a été remise au jour suivant ! Mais quel  bonheur quand même de se geler les mimines  et le bout du nez !  Le week-end suivant annonçant les vacances officielles pour toute la famille, un grand chantier de    construction d'igloo a vu le jour; les renforts étaient les bienvenus, et après   quelques   heures de patience et d'acharnement,   l'ouvrage a pris forme pour le plus grand bonheur des bâtisseurs !  De neiger, il ne s'arrêta point... du moins nous le crûmes ! Une légère accalmie permit à Christophe d'immortaliser    le figuier enneigé, et les Velux   de notre chambre en    tenue de camouflage ! Du coup, c'était trop tentant, et ni une ni deux, les ouvriers se remirent à l'oeuvre pour bâtir notre propre igloo familial...  joli accessoire de jardin, bien pratique pour    se réfugier ! Mais dont il ne reste déjà, plus, hélas, que des souvenirs... Temps de vacances Que se passe-t-il chez nous pendant les vacances ? Tant de petites choses sans importance, mais qui sont le sel de nos journées !  Par exemple, on construit des  cabanes au chaud, près du radiateur, et on s'y invente un monde de fées arc-en-ciel et de clones armés jusqu'aux dents... On  décore les fenêtres selon l'inspiration du moment (et on ne pense pas à celui où il faudra les nettoyer...) On prépare des saumons  "à la finlandaise", grâce à l'acquisition d'un  fumoir de compétition, garanti made in Finland, testé et approuvé par toute la tribu... On cuisine des sablés  "entre filles", et on les dévore "entre nous"... On apprend à ses fils à jouer au  Power et on savoure des parties acharnées... Bref, on ne fait rien, on profite de tout, et ainsi va la vie ! Nos sportifs Coup de projecteur ce mois-ci sur 2 de nos loustics : Coline a enchaîné les séances "portes ouvertes"; à son cours de multisports tout d'abord où, tout comme l'an dernier, nous l'avons regardée courir, sauter, et se dépenser  avec toute  l'énergie qu'elle possède, et tout l'enthousiasme qui va avec. Vraie joie pour elle comme pour nous. Ambiance plus posée mais toujours autant de plaisir pour son  cours de danse; une douzaine de petites minettes tutuées et collantées évoluant plus ou moins gracieusement  sous les directives d'une douce et vieille professeur à l'accent russe si charmant...  Ma louloutte a fait sensation en profitant de tous les moments possibles pour  faire le grand écart. Autant vous dire que j'ai péché par orgueil ce jour-là, mais je ne le regrette pas ! Nouvellement inscrit au club de natation, Paul était prêt à  mouiller le maillot au profit du Téléthon; sous nos encourgaments sonores, il a effectué de belles  longueurs en crawl et dos crawlé, avec une détermination farouche. A sa grande surprise, il a terminé sur la  première marche du podium, repartant ainsi avec  2 médailles d'or ! Quelle joie pour lui, si réservé, et pour nous, si fiers pour lui et avec lui... Disney d'hiver On l'avait dit, on l'a attendu... et ce mois de décembre a marqué le retour des passeports Disney !!! Euphorie  familiale ! Première visite avec un passage obligé par le Parc Studio pour découvrir les  nouvelles attractions de Toy Story; Marion a adoré les sensations fortes, bras en l'air et  rire aux lèvres... tandis que moi, j'essayais de  survivre !! Impossible de zapper les aventures de Captain EO, campé par... Michaël Jackson, de l'époque où il était encore vivant ! Lunettes 3D, musique à fond... et  bonheur indescriptible de Coline devant son idole sur écran géant ! Enfin, dernière "grande première" de ce jour : notre Paul a enfin atteint le  cap des 1m40, sésame nécessaire pour accéder à Indiana Jones ; me  voilà donc avec 2 aventuriers intrépides ! Seconde visite au Parc...  sous la neige ! Pas courant comme météo ! Et avec un froid polaire, nous contraignant à trouver  refuge autour d'un  bon repas chaud à l'Annette's Dinner... Une fois les forces prises et les doigts réchauffés, nous avons arpenté  les rues enneigéées à la recherche des attractions couvertes ! La neige continuant à tomber, et malgré l'insistance des  enfants, nous  avons écourté le séjour et apprécié le chauffage de la voiture pour le trajet retour... au pas. Au pied du sapin... La veille de Noël, on est déjà dans le mystère; après avoir animé la messe, nous avons partagé un petit repas  tranquille avec  Samuel, "notre invité de Noël", en attendant l'arrivée de mamie Christiane... et du  Père Noël ! Des cadeaux vite vite déballés, sous les cris de joie et de surprise; les  trains des garçons ont envahi le salon, occupant les enfants pour toute la  journée... de quoi  épuiser les plus petits ! La douceur de Noël, ce sont les festivités qui se prolongent... Dès le lendemain, en réunissant  tous les cousins d'une des branches... Des rires, des chahuts, des cavalcades... au milieu desquels nous réussissons, entre adultes, à discuter un peu ! Les  familles s'agrandissent, c'est l'occasion de faire de  jolies photos pour les  envoyer à papi et mamie, grands absents de la journée... Autre  sapin, autres  cousins... prolongations chez mamie Christiane avec les cousins de Bruz, et toujours autant de beaux cadeaux pour chacun... avant de ramener tout le monde à la maison pour grignoter et digérer... avec  Michaël !!! Pour finir,  dernier arbre décoré et bien garni chez  Papounet et  Nicole; encore des  cadeaux rigolos et des parties de  câlins à savourer, pour rester  dans l'esprit de Noël encore quelques heures ! Les potins  On peut enfin officiellement annoncer la nouvelle : un nouveau bébé se prépare chez tonton Ju et tata Nicole... rendez-vous en mai pour lever le voile ! Et en attendant, profitez bien de ces mois de "rondeurs" !  Un grand merci à Soazic, Pierre et les enfants d'avoir joué les visiteurs de Noël cette année encore... l'esprit de Michaël est en vous !!!  Merci également à Anne-Cécile et  Laurent de nous avoir  accueillis pour le Nouvel An... toujours beaucoup de bons moments,  même si les  blindés sur le parking de la  gendarmerie avaient de quoi refroidir un peu notre ardeur !!!

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vendredi 31 décembre 2010

Décembre 2010

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CHRONIQUE

mardi 30 novembre 2010

Chronique 11/2010

La chronique d'Elodie - novembre 10 En voyant la foule de gens, Jésus alla sur la montagne. Lorsqu'il fut assis, les douze vinrent à lui. Il leva les yeux sur ses disciples et dit : - Bienheureux les pauvres en esprit car le royaume des cieux leur appartient. - Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés... - Bienheureux les doux car ils posséderont la terre... Quand Jésus eut terminé, Simon-Pierre dit : "- Il fallait écrire ?" Puis André demanda : "- Est-ce qu'on doit apprendre tout ça ?" Et Jacques : "- Il faut le savoir par coeur ?" Philippe ajouta : "- C'est trop dur !" Jean dit : "- J'ai pas de feuille !" Et Thomas ajouta : "- Moi, j'ai plus d'encre dans mon stylo !" Inquiet, Barthélemy demanda : "- Y aura interro ?" Et Marc interrogea : "- Comment ça s'écrit "bienheureux"" ? Matthieu se leva et quitta la montagne sans attendre et disant : "- Je peux aller aux toilettes ?" Simon précisa : "- Ça va sonner." Et Judas dit enfin : "- Vous avez dit quoi après pauvres ?" Alors, un Grand Prêtre du Temple s'approcha de Jésus et dit : - Quelle était ta problématique de départ ? - Quels étaient tes objectifs transversaux ? - A quelle compétence faisais-tu appel ? - Pourquoi ne pas avoir mis les apôtres en activité de groupe ? - Pourquoi cette pédagogie frontale ? Était-elle la plus appropriée ? Alors, Jésus s'assit et pleura. Un peu d'humour pour commencer, Jésus, j'en suis sûre, ne m'en tiendra pas rigueur... Un clin d'oeil pour mes collègues enseignants, et pour mes amis parents  d'élèves qui font parfois l'effort d'imaginer ce qui se passe dans une classe... et une spéciale dédicace pour mon inspectrice, "grande prêtresse" des temps modernes, forte de  ses réflexions hors de la réalité et de ses ambitions personnelles... Tranche de travaux, tranche de vie...saignante Tout a une fin... même nos travaux, bien que ce ne soit pas pour demain ! Plagiant Churchill, j'ose quand même dire qu'on en est à "la fin  du commencement"... Objectif prioritaire de novembre : peaufiner l'aménagement du nouveau garage et, en premier lieu, le doter d'alimentation électrique pour que la lumière y brille et que le congélateur  puisse y emménager. Ni une ni deux, Homme se colle à la tâche et je vois avec bonheur réapparaître cables et gaînes... Tout se déroule bien, suivant les plans de mon chef de chantier,  mais soudain, alors que nous touchons au but et que la tâche est presque achevée, un esprit démoniaque s'empare du cutter de Christophe, qui prend soudain vie (le cutter, pas Christophe)  et, de sa propre initiative, décrète qu'il en a ras la lame et que ça suffit pour la journée... Mais c'était sans compter sur l'opiniâtreté de mon cher et tendre qui n'aime pas qu'on  lui résiste; rapports de force houleux, jurons et noms d'oiseaux... on s'échauffe, on s'échauffe et le drame arrive : cutter 1 - main gauche de mon Charles 0 (ou plutôt  deux ! 2 superbes  entailles bien nettes, bien profondes, bien beurk beurk...). Florence Nightingale je deviens, et vive les Stéristrips ! Quand on dit que la vie de l'homme moderne est un combat... Compatissante que je suis, j'accorde à mon grand blessé un repos bien mérité... et 15 minutes après, le revoilà sur l'escabeau, saleté de cutter en main et niaque d'enfer... S'ensuivent  quelques instants d'intensité dramatique insoutenable où l'homme et la (petite) machine s'affrontent à nouveau... et oui, c'est la victoire de l'homosapienssapiens qui parvient au  bout de ses projets et met fin au combat en balançant magistralement l'outil abject loin de lui (et de moi évidemment). Trop fort cet homme-là, moi j'vous'l'dis, si ça m'était arrivé à moi,  il aurait fallu attendre belle lurette pour que je reprenne un cutter en main... j'aurais plutôt courageusement demandé à mon mari de finir le travail ! Bref, dommages collatéraux certains MAIS... magnifique néon pendu au plafond tel le petit cochon, qui ne pond pas d'oeufs quand on lui tire la queue mais dispense une vive clarté dès  que l'on actionne l'un des deux interrupteurs (c'est Byzance, je sais) qui lui sont reliés (par des câbles et des gaînes, vous avez suivi). Vous imaginez aisément la suite : seul le  froid pénétrant nous a contraints à cesser de jouer à "jour/nuit" pour le reste du week-end....  Donc, la lumière fut. Si éclairante qu'elle révéla rapidement les imperfections de la chape de bêton... Deux solutions là encore :  1. on regarde en l'air (vers le néon !) chaque fois qu'on entre dans le garage;  2. on décrète que c'est insupportable et que la seule pensée d'avoir un sol de garage dans cet état fait se refermer tous nos chakras; Chacun de vous aurait donc bien sûr lancé un nouveau chantier de  réagréage de la dalle... Avec moi dans le rôle de la donneuse d'indications (qui a dit d'ordres?), Charli-chou  dans celui de l'exécutant (comment ça comme d'hab ??) et les gars dans celui  d'intendants. Vive le travail en équipe ! Très vite, nous récoltons les fruits de notre labeur : nous pouvons enfin installer le congélateur et  l'établi de Christophe dans notre nouveau garage flambant neuf, où le sol est si beau  qu'on n'ose y marcher (enfin si, quand même). Pour fêter cela, j'exhume la cible de fléchettes de son étagère poussiéreuse, et  tout le monde profite du lieu pour faire  grimper les points... C'est pas beau, ça ?   Nous voilà donc avec un vrai garage, bien rempli déjà, ainsi que sa vocation l'y appelle (vélos, établi, congélateur, réserve de victuailles, grands rangements pour  accessoires de Noël, matériel de travaux, nourriture des divers animaux de la maison etc...). Mais il lui manquait la touche finale, et nous y avons remédié par un frais matin. Aidés par  nos puces (non, Marie-Paule, non, n'appelle pas les services sociaux, je t'assure qu'elles étaient volontaires !),  nous avons lasuré la porte encore "brut", et profité de notre enthousiasme pour décaper la porte d'entrée et  l'assortir à celle du garage. Dès notre emménagement en 2003, je voulais la repeindre cette porte d'entrée... ben voilà, c'est fait maintenant ! Il ne reste plus que la porte de l'ancien garage, mais comme elle est  appelée à disparaître, je ne sais pas si nous nous lancerons dans son relooking... à voir ! Entre cousins Les travaux n'empêchent pas notre vie sociale, et notre virée programmée de longue date avec les cousins d'ici nous a menés du restau au bowling pour fuir  le froid qui commençait à s'installer. Enfin, quand je dis "nous", c'est exception faite de Marion et moi, la piou-pioute parce que courir après les boules sur la piste, c'est son jeu  préféré, et moi parce que courir après la piou-pioute qui court après les boules sur la piste c'est moyen mon jeu préféré. Du coup, pendant que la jeune miss ronflait tranquille, et que  je remplissais mes devoirs de maîtresse de maison (genre le nez dans un bouquin au coin du feu avec une tasse de thé), tous les autres ont fait démonstration de leurs talents de  bowlingeurs (vous saviez que ça existait ce mot, hmmm?). Les  enfants, fidèles à eux-mêmes, on tout donné avec enthousiasme et ardeur;  Catherine et Bruno se sont bien défendus en menant  la vie dure à  Christophe, que je soutenais pourtant moralement ! Mon petit rat Depuis le mois de septembre, vous le savez, ma Cocinelle fait de la danse classique, et je vis à travers  elle un de mes rêves d'enfant par procuration. La voilà maintenant complètement équipée (et moi délestée d'une somme certaine ! Merci le conservatoire qui ne veut pas que l'on achète la tenue  chez Décathlon !), et je me régale à la préparer avant chaque cours, notamment avec le petit chignon de danseuse qui va bien, et le cache-coeur à nouer et tout et tout. Question souplesse,  tout y est, je ne sais pas d'où elle tient ça mais pas de moi en tout cas ! Question  grâce, il y encore un peu de boulot, et je le dis en toute fierté maternelle ! Du coup, les  "pestacles" se multiplient, et Coline se prête de bonne grâce au jeu du professeur de danse pour sa petite soeur, toujours avide de partager des  moments complices  avec sa "'rande soeur". Et les vers de Victor Hugo me reviennent en mémoire : Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande soeur et la petite soeur Sont assises au seuil du jardin, et, sur elles, Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles, Dans une urne de marbre agité par vent, Se penche, et les regarde, immobile et vivant, Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase, Un vol de papillons arrêté dans l'extase..." Doucement s'en vient l'hiver... Après la chute des feuilles, quel bonheur de voir tomber quelques flocons ! Ce n'est pas si courant chez nous, et c'est toujours un événement  en soi, même s'il n'y a que quelques centimètres et qu'ils ne restent que quelques jours... Cette  neige est quand même arrivée bien drue, pile poil le soir où je sortais au ciné avec mon  Louis pour accueillir Harry en son 7° volet... Dieu sait si je suis fan, mais je dois avouer que j'ai failli tout annuler quand j'ai vu ce qui tombait ! Mais les Pottermaniacs ne renoncent pas  si facilement, et fils chéri et moi avons bravé les éléments à notre corps défendant , et dévoré force pop-corn pour reprendre des forces pour le retour... sous un ciel totalement dégagé ! Nos travaux nous ayant contraints à refaire notre décoration lumineuse extérieure, nous n'avons pas voulu être en retard, et c'est donc dès le 1° week-end de l'Avent que nous avons illuminé  la maison; de quoi sentir que Noël approche. Et puis coutume familiale du premier dimanche de l'Avent, même si celui-ci tombe en novembre : on installe la crèche et  on décore le sapin ! L'endroit où  installer celui-ci a été l'objet d'une longue discussion familiale, mais il a finalement trouvé sa place après avoir été  "couronné" par Louis, aidé de Christophe qui lui a bien précisé que,  dans 4 ans quand ce serait à nouveau son tour, il lui faudrait compter sur une chaise et non plus sur les bras de son père pour atteindre le sommet de l'arbre ! Comme le temps passe... Les potins  La tradition de famille, du côté du père, se poursuit chez Laurent et Anne-Cécile : nous avons assisté avec émotion aux premiers touchers de clavier  d'Elise...bravo mademoiselle et courage, il faut continuer !  Quand on aime, on a toujours 20 ans... n'est-ce pas Florence et Jean-Luc ? 20 ans de mariage, ça se  célèbre et ça se  fête ! On vous en souhaite  de nombreux autres, toujours aussi rayonnants !

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ALBUM

mardi 30 novembre 2010

Novembre 2010

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CHRONIQUE

dimanche 31 octobre 2010

Chronique 10/2010

La chronique d'Elodie - octobre 10 Mes bien-aimés, voyez comme il est grand, l'amour dont le Père nous a comblés : il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu - et nous le sommes.  Première lettre de Saint Jean Beau cadeau que cette parole entendue lors de la messe de la Toussaint, la fête de tous les Saints, la fête aussi de tous ceux qui sont  appelés à vivre dans l'amour, par l'amour... Chacun de nous en somme ! Cette "foule immense que nul ne [peut] dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples et langues", qui accepte de croire en l'Amour  et qui tente, en s'accomodant de nos défauts humains, de nos petitesses et de nos faiblesses, de conformer sa vie à un idéal, à un désir... Beaucoup d'appelés, tous élus !! C'est pas beau, ça ?? Une visite chez Papounet et Nicole Il fait froid, c'est un temps "de Toussaint" avant l'heure, alors nous trouvons refuge chez Papounet et Nicole pour une journée de calme et de chaleur au coin du feu ! Etat des travaux, des projets, partage des expériences (et du logiciel IKEA !), exploration par les enfants des trésors du sous-sol, initiation à la DS pour Papounet... tout  le monde y trouve son compte, notamment Marion qui exprime sa confortable aisance en  piquant un roupillon dans les bras de son grand-père, fait qui se raréfie avec le temps ! Bilan de la journée : nous rapportons des pommes et des kiwis de production locale (et on a déjà tout mangé !) et nous oublions (enfin, Coline oublie !) une DS rose et un affreux petit  cochon en peluche qui, pour l'occasion, est devenu le meilleur jouet chéri préféré de miss n°1... bref, Papounet et Nicole, on espère que vous avez bien conservé le porcelet (et, accessoirement,  la DS !)... on vient vous en libérer au plus tôt ! Au coeur de "Central Park"Au du parc central, comme il se nomme en réalité ! Dans l'espace vert de chez nous, quoi ! De nouvelles  structures de jeux ont été installées,  pour la plus grande joie des  enfants. Chacun  l'investit selon son degré de  témérité ! Après avoir joué les spectateurs attentifs, me voilà mise à contribution par mon infatigable fillette  pour faire de la  course de vitesse (merci l'athlétisme à l'école !). Autant dire qu'après 3 allers-retours  je suis morte, tandis que la minette semble avoir avalé un lion ! Mais où  puise-t-elle cette énergie ?? Mariage d'automne sous un temps de Toussaint ! Froid et claquement de dents, mais beaucoup de joie lors du mariage de  Cécile et Damien. Réunis autour d'eux dans  la Brie profonde, nous avons savouré leur engagement et partagé    leur bonheur et celui de leurs familles. Les photographes avaient été priés d'être discrets, on attend donc les photos officielles avec impatience !  Le temps de laisser les intimes profiter des mariés, nous avons organisé une pizza-party à la maison, avec pas moins de    10 lascars de 5 à 12 ans, et    3 mini-lascars dans la tranche inférieure !   Un feu de cheminée par là-dessus et voilà coment la température intérieure frôle vite les 30 degrés !! Ah, la chaleur humaine...  Dur dur du coup de ressortir à la nuit tombée pour aller faire la fête avec    les nouveaux mariés... mais ça valait vraiment le déplacement, première fois de ma vie que je suis quasiment la dernière à quitter la   piste de danse (faut dire que le DJ était... fabuleux ! 4 Jean-Jacques dans la même soirée, du jamais vu !!!). Du coup, on oublie qu'on a déjà bien dépassé l'âge de guincher sans fin,   et c'est le lendemain qu'on constate avec amertume que coucher à 2h30 + lever à 8h = réveil difficile...  Grande, longue et belle route à vous deux, Cécile et Damien, il est bien loin le temps de la Parole de Feu et des longues discussions... d'autres à venir maintenant, toujours plus riches,   je le souhaite ! Franciliens en sortie Sortie traditionnelle des vacances sans déplacement : une virée "à la capitale"; cette année, après référendum familial, nous voilà partis direction : les catacombes. Las, à l'arrivée, on se croirait chez nous (à Disney, quoi) : on fait la queue, sous un  ciel limite menaçant  ! Pour s'occuper, nos  faux jumeaux font les  guignols tandis que Marion essaie de glaner quelques piécettes  en  faisant la manche (même que c'était même pas notre idée !) tandis que sa soeur danse en faisant des pointes comme Maïkeul Jaksonne; cette enfant est une enfant de la balle, j'vous l'dis, moi ! Bilan :1h d'attente, pas un kopeck de recette mais nous voilà  à l'entrée desdites catacombes. Ca commence par un  long boyau dans lequel vaut mieux pas être claustro et avoir une lampe  frontale (comme nous, malins que nous sommes). Quelques  sculptures faites main interpellent le passant, avant que nos pas ne nous mènent à la  "porte" de l'ossuaire... et là, quand même, ami  mortel, c'est impressionnant. Tous ces crânes et ces tibias  artistiquement entassés le long des murs... les garçons jubilent, Coline est morte de trouille (craignant d'être attrapée par  un des squelettes - n'ayant pas réalisé qu'ils sont en  pièces détachées !!), alors que Marion, nullement impressionnée, met ses petits doigts dans les orbites vides ou les orifices nasaux (nasals ??) à la recherche d'on ne sait quoi... Finalement, la nature vaillante de Coline reprend le dessus, et les voilà tous les 4 partis à jouer à cache-cache avec les nonosses, faisant preuve,  rassurez-vous, d'un minimum de retenue quand même ! Après notre retour dans le monde des vivants et en surface, nous nous dirigeons vers la seconde partie de notre périple :  la Tour Montparnasse. Pour la petite histoire, à la dernière kermesse  de l'école, nous avons gagné 4 entrées pour le fameux "59° étage" de la Tour... et comme c'est gratuit pour les petiotes, voilà une sortie bien sympathique.  Sauf que quand on est une tribu, on voyage en véhicule "familial", et que pour trouver une place, c'est pas gagné. La chance étant avec nous, nous en trouvons une au pied de la Tour, dans  laquelle  le Trafic rentre au millimètre; comme dirait papi, il reste un poil de... à l'avant et à l'arrière. La manoeuvre, réalisée au millimètre par Homme, attire les regards admiratifs des parisiens conducteurs  de Smart... Après avoir été propulsés par l'ascenseur  ultra-rapide à la hauteur folle de 210m (enfin à peu près, j'ai pas compté non plus !), nous pouvons enfin contempler  Paris à nos pieds. Même la  Dame de Fer paraît toute petite ! Tandis que Christophe  pose sur le toit du monde, les filles et moi nous réchauffons un étage plus bas, dans la magnifique salle panoramique au parquet ciré, baignée dans la lumière du soleil couchant... Et là, vous  n'allez pas me croire, mais voilà que mes deux bambinettes se font repérer par des  touristes japonais (enfin, extrème-orientaux quoi !) qui les photographient en pleines pitreries... comme  quoi, il y a du public pour tout ! Quelques  câlins , quelques observations à la  lunette, et nous voilà fin prêts pour aborder l'ultime projet de la journée : dîner "en ville"; et, pour cela, retrouver le FAAAABULEUX restaurant découvert l'hiver dernier lors de notre sortie parisienne avec papi, mamie et les cousins du 78... mais sans Christophe ! Et c'est bien là que le bas blesse ! Parce que question sens de l'orientation, moi c'est zéro et les enfants pas  beaucoup plus... du moins tant qu'ils se fiaient à mes indications approximatives, parce que dès qu'ils ont pris ls choses en main, nous avons trouvé le Happy Days Dinner en 3 minutes ! Plaisir absolu de faire  découvrir au chef de famille ce minuscule resto débordant de bons hamburgers bien gras...  que du bonheur ! En vacances On profite du nid douillet de la maison, et on poursuit la tradition familiale en fabriquant  des cabanes... Ephémères refuges dans  lesquels  grands frères et petites soeurs partagent des heures de jeu à l'intensité dramatique certaine ! Et puis la joie des vacances c'est aussi d'accueillir  papi et mamie, attendus avec impatience ! Les voilà embauchés pour d'innombrables parties de Uno, 1000 bornes et  autres 7 Familles, sans oublier les puzzles et les histoires à lire ! Avec eux, nous faisons également une sortie à la Cueillette, histoire de rapporter notre  citrouille de saison,  et de dévorer quelques pommes  cueillies sur l'arbre (après avoir  déterré deux radis noirs et un poireau ! Il fallait rentabiliser la sortie !) Marion profite de  la chariotte mise à dispo, tandis que les garçons trimballent à qui mieux mieux  l'échelle à roulettes servant à atteindre le haut des pommiers... gamins, va ! Et puis papi et mamie repartent et nous noyons notre chagrin dans les préparatifs d'Halloween, que nous fêtons avec les cousins du 35 fort heureusement en visite; après la     ballade  ensoleillée de l'après-midi, la  virée nocturne vaut son pesant de bonbons !! Fils et filles Petit bonhomme de chemin tranquille pour  Marion, toujours partante pour tout (sauf pour manger les légumes), souvent souriante et régulièrement  morte de rire... L'interaction avec ses frères et soeur semble être vitale pour elle, les matinées sont bien longues quand ils sont à l'école ! Mais l'expérience a prouvé qu'elle  tenait dans le cartable de Louis, alors d'ici à ce qu'un de ces matins il l'embarque discrètement avec lui au collège... Energie toujours inépuisable pour  Coline, qui voudrait, en plus de la danse et du multisports, faire du basket (comme Anaïs) et de l'athlétisme (comme Rebecca). Si les copines  pouvaient venir à la maison tous les mercredis, ou l'inviter chez elles, ce serait le bonheur total ! Excitation déjà à son comble pour  Paul en cette approche (lointaine, pourtant !) de Noël; après lecture d'une de ses 44 listes de cadeaux, Christophe lui fait remarquer  que le montant total s'élève à quelque chose  comme... 400 euros ! Et là, notre angélique héritier de répondre : "ben oui, mais c'est Noël quand même !" Y'en a qui ne doutent de rien ! La natation, c'est l'éclate totale, et l'alto,  ça travaille dur ! On est dans une phase motivée, pourvu que ça dure ! Premières galères adolescentes pour  Louis qui se voit équipé d'un appareil dentaire pour cause de mâchoire trop petite (la faute à son père, sûrement !); avec ce genre de chose, on bave et  on zozotte, alors on a fait le compromis de ne le lui faire porter que la nuit, le week-end et les vacances... Parler anglais et allemand c'est déjà pas facile, alors avec un corps étranger  dans la bouche, vous imaginez ! Et puis on pourra toujours le revendre, vu son prix, il doit être plaqué or ce truc !! Les potins  Je dois à la vérité historique des excuses publiques pour mes derniers commentaires concernant notre machine à pâtes récemment acquise :  afin d'éviter le courroux maternel et les griefs de ma chère soeur, je dois affirmer que LA MACHINE A PÂTES POSSEDEE PAR MES PARENTS A FONCTIONNE PLUS QUE DE RAISON  DURANT NOS ANNEES DE VIE EN AFRIQUE, et ce malgré l'absence totale de souvenirs que cela m'évoque... Et gare à ceux qui oseraient prétendre le contraire, non mais !  Bienvenue à la petite Charlie débarquée chez Julie, Sébastien, Lili et Samuel. Et merci à Aurélie pour l'info !  Les travaux ont repris, pour ceux qui suivent : voilà le nouveau garage pourvu d'électricité, et l'estrade du bureau enrichi de fort utiles étagères... merci  aux  travailleurs !

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dimanche 31 octobre 2010

Octobre 2010