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CHRONIQUE

vendredi 31 décembre 2010

Chronique 12/2010

La chronique d'Elodie - décembre 10 Oh, quand j’entends chanter Noël, J’aime à revoir mes joies d’enfant, Le sapin scintillant, la neige d’argent, Noël, mon beau rêve blanc ! Oh, quand j’entends sonner au ciel L’heure où le bon vieillard descend, Je revois tes yeux clairs, Maman, Et je songe à d’autres Noëls blancs.  S'il y a bien une année où ce chant était de circonstance, c'était bien celle-ci !  La neige en effet était au rendez-vous pour  accompagner ces fêtes de Noël et toute l'attente qui les a précédées... De quoi m'aider à "revoir tes yeux clairs, maman" en navigant de mes souvenirs d'enfance  à ceux que nous essayons de créer pour  nos enfants... Ultime chronique de 2010, toute simple, emplie d'événements familiers et pourtant toujours redécouverts... Grâce de l'enfance dans nos vies d'adultes... Sous les flocons Nous fûmes donc enneigés; et pas qu'un peu ! Vous avez tous dû le vivre, ou le suivre à la télé, les routes bloquées,  les voitures à la queue leu leu, les conseils de prudence maintes fois répétés... Signe encore une fois de la présence de Dieu, j'étais en vacances lorsque le plus "gros" est tombé... je n'ai donc pas fait partie de tous ces pauvres hères bloqués sur les routes, victimes ou responsables des accidents paralysant la circulation... J'ai donc pu m'adonner à la prière frénétiquement pour demander le retour de mon homme, sain et sauf, au bercail, en  ce "mercredi noir". Prière exaucée : 3 heures de glissades/patinage pour parcourir ses 15km, mais il a fini par arriver ! Dès le début d'après-midi, tandis que Coline était au cinéma avec une copine, mes  trois autres lascars prenaient possession du jardin pour y établir un  camp retranché, prélude à une bataille de boules de neige  devant avoir lieu "dès après" l'arrivée de leur géniteur... autant dire que la partie a été remise au jour suivant ! Mais quel  bonheur quand même de se geler les mimines  et le bout du nez !  Le week-end suivant annonçant les vacances officielles pour toute la famille, un grand chantier de    construction d'igloo a vu le jour; les renforts étaient les bienvenus, et après   quelques   heures de patience et d'acharnement,   l'ouvrage a pris forme pour le plus grand bonheur des bâtisseurs !  De neiger, il ne s'arrêta point... du moins nous le crûmes ! Une légère accalmie permit à Christophe d'immortaliser    le figuier enneigé, et les Velux   de notre chambre en    tenue de camouflage ! Du coup, c'était trop tentant, et ni une ni deux, les ouvriers se remirent à l'oeuvre pour bâtir notre propre igloo familial...  joli accessoire de jardin, bien pratique pour    se réfugier ! Mais dont il ne reste déjà, plus, hélas, que des souvenirs... Temps de vacances Que se passe-t-il chez nous pendant les vacances ? Tant de petites choses sans importance, mais qui sont le sel de nos journées !  Par exemple, on construit des  cabanes au chaud, près du radiateur, et on s'y invente un monde de fées arc-en-ciel et de clones armés jusqu'aux dents... On  décore les fenêtres selon l'inspiration du moment (et on ne pense pas à celui où il faudra les nettoyer...) On prépare des saumons  "à la finlandaise", grâce à l'acquisition d'un  fumoir de compétition, garanti made in Finland, testé et approuvé par toute la tribu... On cuisine des sablés  "entre filles", et on les dévore "entre nous"... On apprend à ses fils à jouer au  Power et on savoure des parties acharnées... Bref, on ne fait rien, on profite de tout, et ainsi va la vie ! Nos sportifs Coup de projecteur ce mois-ci sur 2 de nos loustics : Coline a enchaîné les séances "portes ouvertes"; à son cours de multisports tout d'abord où, tout comme l'an dernier, nous l'avons regardée courir, sauter, et se dépenser  avec toute  l'énergie qu'elle possède, et tout l'enthousiasme qui va avec. Vraie joie pour elle comme pour nous. Ambiance plus posée mais toujours autant de plaisir pour son  cours de danse; une douzaine de petites minettes tutuées et collantées évoluant plus ou moins gracieusement  sous les directives d'une douce et vieille professeur à l'accent russe si charmant...  Ma louloutte a fait sensation en profitant de tous les moments possibles pour  faire le grand écart. Autant vous dire que j'ai péché par orgueil ce jour-là, mais je ne le regrette pas ! Nouvellement inscrit au club de natation, Paul était prêt à  mouiller le maillot au profit du Téléthon; sous nos encourgaments sonores, il a effectué de belles  longueurs en crawl et dos crawlé, avec une détermination farouche. A sa grande surprise, il a terminé sur la  première marche du podium, repartant ainsi avec  2 médailles d'or ! Quelle joie pour lui, si réservé, et pour nous, si fiers pour lui et avec lui... Disney d'hiver On l'avait dit, on l'a attendu... et ce mois de décembre a marqué le retour des passeports Disney !!! Euphorie  familiale ! Première visite avec un passage obligé par le Parc Studio pour découvrir les  nouvelles attractions de Toy Story; Marion a adoré les sensations fortes, bras en l'air et  rire aux lèvres... tandis que moi, j'essayais de  survivre !! Impossible de zapper les aventures de Captain EO, campé par... Michaël Jackson, de l'époque où il était encore vivant ! Lunettes 3D, musique à fond... et  bonheur indescriptible de Coline devant son idole sur écran géant ! Enfin, dernière "grande première" de ce jour : notre Paul a enfin atteint le  cap des 1m40, sésame nécessaire pour accéder à Indiana Jones ; me  voilà donc avec 2 aventuriers intrépides ! Seconde visite au Parc...  sous la neige ! Pas courant comme météo ! Et avec un froid polaire, nous contraignant à trouver  refuge autour d'un  bon repas chaud à l'Annette's Dinner... Une fois les forces prises et les doigts réchauffés, nous avons arpenté  les rues enneigéées à la recherche des attractions couvertes ! La neige continuant à tomber, et malgré l'insistance des  enfants, nous  avons écourté le séjour et apprécié le chauffage de la voiture pour le trajet retour... au pas. Au pied du sapin... La veille de Noël, on est déjà dans le mystère; après avoir animé la messe, nous avons partagé un petit repas  tranquille avec  Samuel, "notre invité de Noël", en attendant l'arrivée de mamie Christiane... et du  Père Noël ! Des cadeaux vite vite déballés, sous les cris de joie et de surprise; les  trains des garçons ont envahi le salon, occupant les enfants pour toute la  journée... de quoi  épuiser les plus petits ! La douceur de Noël, ce sont les festivités qui se prolongent... Dès le lendemain, en réunissant  tous les cousins d'une des branches... Des rires, des chahuts, des cavalcades... au milieu desquels nous réussissons, entre adultes, à discuter un peu ! Les  familles s'agrandissent, c'est l'occasion de faire de  jolies photos pour les  envoyer à papi et mamie, grands absents de la journée... Autre  sapin, autres  cousins... prolongations chez mamie Christiane avec les cousins de Bruz, et toujours autant de beaux cadeaux pour chacun... avant de ramener tout le monde à la maison pour grignoter et digérer... avec  Michaël !!! Pour finir,  dernier arbre décoré et bien garni chez  Papounet et  Nicole; encore des  cadeaux rigolos et des parties de  câlins à savourer, pour rester  dans l'esprit de Noël encore quelques heures ! Les potins  On peut enfin officiellement annoncer la nouvelle : un nouveau bébé se prépare chez tonton Ju et tata Nicole... rendez-vous en mai pour lever le voile ! Et en attendant, profitez bien de ces mois de "rondeurs" !  Un grand merci à Soazic, Pierre et les enfants d'avoir joué les visiteurs de Noël cette année encore... l'esprit de Michaël est en vous !!!  Merci également à Anne-Cécile et  Laurent de nous avoir  accueillis pour le Nouvel An... toujours beaucoup de bons moments,  même si les  blindés sur le parking de la  gendarmerie avaient de quoi refroidir un peu notre ardeur !!!

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ALBUM

vendredi 31 décembre 2010

Décembre 2010

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CHRONIQUE

mardi 30 novembre 2010

Chronique 11/2010

La chronique d'Elodie - novembre 10 En voyant la foule de gens, Jésus alla sur la montagne. Lorsqu'il fut assis, les douze vinrent à lui. Il leva les yeux sur ses disciples et dit : - Bienheureux les pauvres en esprit car le royaume des cieux leur appartient. - Bienheureux ceux qui souffrent car ils seront consolés... - Bienheureux les doux car ils posséderont la terre... Quand Jésus eut terminé, Simon-Pierre dit : "- Il fallait écrire ?" Puis André demanda : "- Est-ce qu'on doit apprendre tout ça ?" Et Jacques : "- Il faut le savoir par coeur ?" Philippe ajouta : "- C'est trop dur !" Jean dit : "- J'ai pas de feuille !" Et Thomas ajouta : "- Moi, j'ai plus d'encre dans mon stylo !" Inquiet, Barthélemy demanda : "- Y aura interro ?" Et Marc interrogea : "- Comment ça s'écrit "bienheureux"" ? Matthieu se leva et quitta la montagne sans attendre et disant : "- Je peux aller aux toilettes ?" Simon précisa : "- Ça va sonner." Et Judas dit enfin : "- Vous avez dit quoi après pauvres ?" Alors, un Grand Prêtre du Temple s'approcha de Jésus et dit : - Quelle était ta problématique de départ ? - Quels étaient tes objectifs transversaux ? - A quelle compétence faisais-tu appel ? - Pourquoi ne pas avoir mis les apôtres en activité de groupe ? - Pourquoi cette pédagogie frontale ? Était-elle la plus appropriée ? Alors, Jésus s'assit et pleura. Un peu d'humour pour commencer, Jésus, j'en suis sûre, ne m'en tiendra pas rigueur... Un clin d'oeil pour mes collègues enseignants, et pour mes amis parents  d'élèves qui font parfois l'effort d'imaginer ce qui se passe dans une classe... et une spéciale dédicace pour mon inspectrice, "grande prêtresse" des temps modernes, forte de  ses réflexions hors de la réalité et de ses ambitions personnelles... Tranche de travaux, tranche de vie...saignante Tout a une fin... même nos travaux, bien que ce ne soit pas pour demain ! Plagiant Churchill, j'ose quand même dire qu'on en est à "la fin  du commencement"... Objectif prioritaire de novembre : peaufiner l'aménagement du nouveau garage et, en premier lieu, le doter d'alimentation électrique pour que la lumière y brille et que le congélateur  puisse y emménager. Ni une ni deux, Homme se colle à la tâche et je vois avec bonheur réapparaître cables et gaînes... Tout se déroule bien, suivant les plans de mon chef de chantier,  mais soudain, alors que nous touchons au but et que la tâche est presque achevée, un esprit démoniaque s'empare du cutter de Christophe, qui prend soudain vie (le cutter, pas Christophe)  et, de sa propre initiative, décrète qu'il en a ras la lame et que ça suffit pour la journée... Mais c'était sans compter sur l'opiniâtreté de mon cher et tendre qui n'aime pas qu'on  lui résiste; rapports de force houleux, jurons et noms d'oiseaux... on s'échauffe, on s'échauffe et le drame arrive : cutter 1 - main gauche de mon Charles 0 (ou plutôt  deux ! 2 superbes  entailles bien nettes, bien profondes, bien beurk beurk...). Florence Nightingale je deviens, et vive les Stéristrips ! Quand on dit que la vie de l'homme moderne est un combat... Compatissante que je suis, j'accorde à mon grand blessé un repos bien mérité... et 15 minutes après, le revoilà sur l'escabeau, saleté de cutter en main et niaque d'enfer... S'ensuivent  quelques instants d'intensité dramatique insoutenable où l'homme et la (petite) machine s'affrontent à nouveau... et oui, c'est la victoire de l'homosapienssapiens qui parvient au  bout de ses projets et met fin au combat en balançant magistralement l'outil abject loin de lui (et de moi évidemment). Trop fort cet homme-là, moi j'vous'l'dis, si ça m'était arrivé à moi,  il aurait fallu attendre belle lurette pour que je reprenne un cutter en main... j'aurais plutôt courageusement demandé à mon mari de finir le travail ! Bref, dommages collatéraux certains MAIS... magnifique néon pendu au plafond tel le petit cochon, qui ne pond pas d'oeufs quand on lui tire la queue mais dispense une vive clarté dès  que l'on actionne l'un des deux interrupteurs (c'est Byzance, je sais) qui lui sont reliés (par des câbles et des gaînes, vous avez suivi). Vous imaginez aisément la suite : seul le  froid pénétrant nous a contraints à cesser de jouer à "jour/nuit" pour le reste du week-end....  Donc, la lumière fut. Si éclairante qu'elle révéla rapidement les imperfections de la chape de bêton... Deux solutions là encore :  1. on regarde en l'air (vers le néon !) chaque fois qu'on entre dans le garage;  2. on décrète que c'est insupportable et que la seule pensée d'avoir un sol de garage dans cet état fait se refermer tous nos chakras; Chacun de vous aurait donc bien sûr lancé un nouveau chantier de  réagréage de la dalle... Avec moi dans le rôle de la donneuse d'indications (qui a dit d'ordres?), Charli-chou  dans celui de l'exécutant (comment ça comme d'hab ??) et les gars dans celui  d'intendants. Vive le travail en équipe ! Très vite, nous récoltons les fruits de notre labeur : nous pouvons enfin installer le congélateur et  l'établi de Christophe dans notre nouveau garage flambant neuf, où le sol est si beau  qu'on n'ose y marcher (enfin si, quand même). Pour fêter cela, j'exhume la cible de fléchettes de son étagère poussiéreuse, et  tout le monde profite du lieu pour faire  grimper les points... C'est pas beau, ça ?   Nous voilà donc avec un vrai garage, bien rempli déjà, ainsi que sa vocation l'y appelle (vélos, établi, congélateur, réserve de victuailles, grands rangements pour  accessoires de Noël, matériel de travaux, nourriture des divers animaux de la maison etc...). Mais il lui manquait la touche finale, et nous y avons remédié par un frais matin. Aidés par  nos puces (non, Marie-Paule, non, n'appelle pas les services sociaux, je t'assure qu'elles étaient volontaires !),  nous avons lasuré la porte encore "brut", et profité de notre enthousiasme pour décaper la porte d'entrée et  l'assortir à celle du garage. Dès notre emménagement en 2003, je voulais la repeindre cette porte d'entrée... ben voilà, c'est fait maintenant ! Il ne reste plus que la porte de l'ancien garage, mais comme elle est  appelée à disparaître, je ne sais pas si nous nous lancerons dans son relooking... à voir ! Entre cousins Les travaux n'empêchent pas notre vie sociale, et notre virée programmée de longue date avec les cousins d'ici nous a menés du restau au bowling pour fuir  le froid qui commençait à s'installer. Enfin, quand je dis "nous", c'est exception faite de Marion et moi, la piou-pioute parce que courir après les boules sur la piste, c'est son jeu  préféré, et moi parce que courir après la piou-pioute qui court après les boules sur la piste c'est moyen mon jeu préféré. Du coup, pendant que la jeune miss ronflait tranquille, et que  je remplissais mes devoirs de maîtresse de maison (genre le nez dans un bouquin au coin du feu avec une tasse de thé), tous les autres ont fait démonstration de leurs talents de  bowlingeurs (vous saviez que ça existait ce mot, hmmm?). Les  enfants, fidèles à eux-mêmes, on tout donné avec enthousiasme et ardeur;  Catherine et Bruno se sont bien défendus en menant  la vie dure à  Christophe, que je soutenais pourtant moralement ! Mon petit rat Depuis le mois de septembre, vous le savez, ma Cocinelle fait de la danse classique, et je vis à travers  elle un de mes rêves d'enfant par procuration. La voilà maintenant complètement équipée (et moi délestée d'une somme certaine ! Merci le conservatoire qui ne veut pas que l'on achète la tenue  chez Décathlon !), et je me régale à la préparer avant chaque cours, notamment avec le petit chignon de danseuse qui va bien, et le cache-coeur à nouer et tout et tout. Question souplesse,  tout y est, je ne sais pas d'où elle tient ça mais pas de moi en tout cas ! Question  grâce, il y encore un peu de boulot, et je le dis en toute fierté maternelle ! Du coup, les  "pestacles" se multiplient, et Coline se prête de bonne grâce au jeu du professeur de danse pour sa petite soeur, toujours avide de partager des  moments complices  avec sa "'rande soeur". Et les vers de Victor Hugo me reviennent en mémoire : Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande soeur et la petite soeur Sont assises au seuil du jardin, et, sur elles, Un bouquet d'oeillets blancs aux longues tiges frêles, Dans une urne de marbre agité par vent, Se penche, et les regarde, immobile et vivant, Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase, Un vol de papillons arrêté dans l'extase..." Doucement s'en vient l'hiver... Après la chute des feuilles, quel bonheur de voir tomber quelques flocons ! Ce n'est pas si courant chez nous, et c'est toujours un événement  en soi, même s'il n'y a que quelques centimètres et qu'ils ne restent que quelques jours... Cette  neige est quand même arrivée bien drue, pile poil le soir où je sortais au ciné avec mon  Louis pour accueillir Harry en son 7° volet... Dieu sait si je suis fan, mais je dois avouer que j'ai failli tout annuler quand j'ai vu ce qui tombait ! Mais les Pottermaniacs ne renoncent pas  si facilement, et fils chéri et moi avons bravé les éléments à notre corps défendant , et dévoré force pop-corn pour reprendre des forces pour le retour... sous un ciel totalement dégagé ! Nos travaux nous ayant contraints à refaire notre décoration lumineuse extérieure, nous n'avons pas voulu être en retard, et c'est donc dès le 1° week-end de l'Avent que nous avons illuminé  la maison; de quoi sentir que Noël approche. Et puis coutume familiale du premier dimanche de l'Avent, même si celui-ci tombe en novembre : on installe la crèche et  on décore le sapin ! L'endroit où  installer celui-ci a été l'objet d'une longue discussion familiale, mais il a finalement trouvé sa place après avoir été  "couronné" par Louis, aidé de Christophe qui lui a bien précisé que,  dans 4 ans quand ce serait à nouveau son tour, il lui faudrait compter sur une chaise et non plus sur les bras de son père pour atteindre le sommet de l'arbre ! Comme le temps passe... Les potins  La tradition de famille, du côté du père, se poursuit chez Laurent et Anne-Cécile : nous avons assisté avec émotion aux premiers touchers de clavier  d'Elise...bravo mademoiselle et courage, il faut continuer !  Quand on aime, on a toujours 20 ans... n'est-ce pas Florence et Jean-Luc ? 20 ans de mariage, ça se  célèbre et ça se  fête ! On vous en souhaite  de nombreux autres, toujours aussi rayonnants !

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mardi 30 novembre 2010

Novembre 2010

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CHRONIQUE

dimanche 31 octobre 2010

Chronique 10/2010

La chronique d'Elodie - octobre 10 Mes bien-aimés, voyez comme il est grand, l'amour dont le Père nous a comblés : il a voulu que nous soyons appelés enfants de Dieu - et nous le sommes.  Première lettre de Saint Jean Beau cadeau que cette parole entendue lors de la messe de la Toussaint, la fête de tous les Saints, la fête aussi de tous ceux qui sont  appelés à vivre dans l'amour, par l'amour... Chacun de nous en somme ! Cette "foule immense que nul ne [peut] dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples et langues", qui accepte de croire en l'Amour  et qui tente, en s'accomodant de nos défauts humains, de nos petitesses et de nos faiblesses, de conformer sa vie à un idéal, à un désir... Beaucoup d'appelés, tous élus !! C'est pas beau, ça ?? Une visite chez Papounet et Nicole Il fait froid, c'est un temps "de Toussaint" avant l'heure, alors nous trouvons refuge chez Papounet et Nicole pour une journée de calme et de chaleur au coin du feu ! Etat des travaux, des projets, partage des expériences (et du logiciel IKEA !), exploration par les enfants des trésors du sous-sol, initiation à la DS pour Papounet... tout  le monde y trouve son compte, notamment Marion qui exprime sa confortable aisance en  piquant un roupillon dans les bras de son grand-père, fait qui se raréfie avec le temps ! Bilan de la journée : nous rapportons des pommes et des kiwis de production locale (et on a déjà tout mangé !) et nous oublions (enfin, Coline oublie !) une DS rose et un affreux petit  cochon en peluche qui, pour l'occasion, est devenu le meilleur jouet chéri préféré de miss n°1... bref, Papounet et Nicole, on espère que vous avez bien conservé le porcelet (et, accessoirement,  la DS !)... on vient vous en libérer au plus tôt ! Au coeur de "Central Park"Au du parc central, comme il se nomme en réalité ! Dans l'espace vert de chez nous, quoi ! De nouvelles  structures de jeux ont été installées,  pour la plus grande joie des  enfants. Chacun  l'investit selon son degré de  témérité ! Après avoir joué les spectateurs attentifs, me voilà mise à contribution par mon infatigable fillette  pour faire de la  course de vitesse (merci l'athlétisme à l'école !). Autant dire qu'après 3 allers-retours  je suis morte, tandis que la minette semble avoir avalé un lion ! Mais où  puise-t-elle cette énergie ?? Mariage d'automne sous un temps de Toussaint ! Froid et claquement de dents, mais beaucoup de joie lors du mariage de  Cécile et Damien. Réunis autour d'eux dans  la Brie profonde, nous avons savouré leur engagement et partagé    leur bonheur et celui de leurs familles. Les photographes avaient été priés d'être discrets, on attend donc les photos officielles avec impatience !  Le temps de laisser les intimes profiter des mariés, nous avons organisé une pizza-party à la maison, avec pas moins de    10 lascars de 5 à 12 ans, et    3 mini-lascars dans la tranche inférieure !   Un feu de cheminée par là-dessus et voilà coment la température intérieure frôle vite les 30 degrés !! Ah, la chaleur humaine...  Dur dur du coup de ressortir à la nuit tombée pour aller faire la fête avec    les nouveaux mariés... mais ça valait vraiment le déplacement, première fois de ma vie que je suis quasiment la dernière à quitter la   piste de danse (faut dire que le DJ était... fabuleux ! 4 Jean-Jacques dans la même soirée, du jamais vu !!!). Du coup, on oublie qu'on a déjà bien dépassé l'âge de guincher sans fin,   et c'est le lendemain qu'on constate avec amertume que coucher à 2h30 + lever à 8h = réveil difficile...  Grande, longue et belle route à vous deux, Cécile et Damien, il est bien loin le temps de la Parole de Feu et des longues discussions... d'autres à venir maintenant, toujours plus riches,   je le souhaite ! Franciliens en sortie Sortie traditionnelle des vacances sans déplacement : une virée "à la capitale"; cette année, après référendum familial, nous voilà partis direction : les catacombes. Las, à l'arrivée, on se croirait chez nous (à Disney, quoi) : on fait la queue, sous un  ciel limite menaçant  ! Pour s'occuper, nos  faux jumeaux font les  guignols tandis que Marion essaie de glaner quelques piécettes  en  faisant la manche (même que c'était même pas notre idée !) tandis que sa soeur danse en faisant des pointes comme Maïkeul Jaksonne; cette enfant est une enfant de la balle, j'vous l'dis, moi ! Bilan :1h d'attente, pas un kopeck de recette mais nous voilà  à l'entrée desdites catacombes. Ca commence par un  long boyau dans lequel vaut mieux pas être claustro et avoir une lampe  frontale (comme nous, malins que nous sommes). Quelques  sculptures faites main interpellent le passant, avant que nos pas ne nous mènent à la  "porte" de l'ossuaire... et là, quand même, ami  mortel, c'est impressionnant. Tous ces crânes et ces tibias  artistiquement entassés le long des murs... les garçons jubilent, Coline est morte de trouille (craignant d'être attrapée par  un des squelettes - n'ayant pas réalisé qu'ils sont en  pièces détachées !!), alors que Marion, nullement impressionnée, met ses petits doigts dans les orbites vides ou les orifices nasaux (nasals ??) à la recherche d'on ne sait quoi... Finalement, la nature vaillante de Coline reprend le dessus, et les voilà tous les 4 partis à jouer à cache-cache avec les nonosses, faisant preuve,  rassurez-vous, d'un minimum de retenue quand même ! Après notre retour dans le monde des vivants et en surface, nous nous dirigeons vers la seconde partie de notre périple :  la Tour Montparnasse. Pour la petite histoire, à la dernière kermesse  de l'école, nous avons gagné 4 entrées pour le fameux "59° étage" de la Tour... et comme c'est gratuit pour les petiotes, voilà une sortie bien sympathique.  Sauf que quand on est une tribu, on voyage en véhicule "familial", et que pour trouver une place, c'est pas gagné. La chance étant avec nous, nous en trouvons une au pied de la Tour, dans  laquelle  le Trafic rentre au millimètre; comme dirait papi, il reste un poil de... à l'avant et à l'arrière. La manoeuvre, réalisée au millimètre par Homme, attire les regards admiratifs des parisiens conducteurs  de Smart... Après avoir été propulsés par l'ascenseur  ultra-rapide à la hauteur folle de 210m (enfin à peu près, j'ai pas compté non plus !), nous pouvons enfin contempler  Paris à nos pieds. Même la  Dame de Fer paraît toute petite ! Tandis que Christophe  pose sur le toit du monde, les filles et moi nous réchauffons un étage plus bas, dans la magnifique salle panoramique au parquet ciré, baignée dans la lumière du soleil couchant... Et là, vous  n'allez pas me croire, mais voilà que mes deux bambinettes se font repérer par des  touristes japonais (enfin, extrème-orientaux quoi !) qui les photographient en pleines pitreries... comme  quoi, il y a du public pour tout ! Quelques  câlins , quelques observations à la  lunette, et nous voilà fin prêts pour aborder l'ultime projet de la journée : dîner "en ville"; et, pour cela, retrouver le FAAAABULEUX restaurant découvert l'hiver dernier lors de notre sortie parisienne avec papi, mamie et les cousins du 78... mais sans Christophe ! Et c'est bien là que le bas blesse ! Parce que question sens de l'orientation, moi c'est zéro et les enfants pas  beaucoup plus... du moins tant qu'ils se fiaient à mes indications approximatives, parce que dès qu'ils ont pris ls choses en main, nous avons trouvé le Happy Days Dinner en 3 minutes ! Plaisir absolu de faire  découvrir au chef de famille ce minuscule resto débordant de bons hamburgers bien gras...  que du bonheur ! En vacances On profite du nid douillet de la maison, et on poursuit la tradition familiale en fabriquant  des cabanes... Ephémères refuges dans  lesquels  grands frères et petites soeurs partagent des heures de jeu à l'intensité dramatique certaine ! Et puis la joie des vacances c'est aussi d'accueillir  papi et mamie, attendus avec impatience ! Les voilà embauchés pour d'innombrables parties de Uno, 1000 bornes et  autres 7 Familles, sans oublier les puzzles et les histoires à lire ! Avec eux, nous faisons également une sortie à la Cueillette, histoire de rapporter notre  citrouille de saison,  et de dévorer quelques pommes  cueillies sur l'arbre (après avoir  déterré deux radis noirs et un poireau ! Il fallait rentabiliser la sortie !) Marion profite de  la chariotte mise à dispo, tandis que les garçons trimballent à qui mieux mieux  l'échelle à roulettes servant à atteindre le haut des pommiers... gamins, va ! Et puis papi et mamie repartent et nous noyons notre chagrin dans les préparatifs d'Halloween, que nous fêtons avec les cousins du 35 fort heureusement en visite; après la     ballade  ensoleillée de l'après-midi, la  virée nocturne vaut son pesant de bonbons !! Fils et filles Petit bonhomme de chemin tranquille pour  Marion, toujours partante pour tout (sauf pour manger les légumes), souvent souriante et régulièrement  morte de rire... L'interaction avec ses frères et soeur semble être vitale pour elle, les matinées sont bien longues quand ils sont à l'école ! Mais l'expérience a prouvé qu'elle  tenait dans le cartable de Louis, alors d'ici à ce qu'un de ces matins il l'embarque discrètement avec lui au collège... Energie toujours inépuisable pour  Coline, qui voudrait, en plus de la danse et du multisports, faire du basket (comme Anaïs) et de l'athlétisme (comme Rebecca). Si les copines  pouvaient venir à la maison tous les mercredis, ou l'inviter chez elles, ce serait le bonheur total ! Excitation déjà à son comble pour  Paul en cette approche (lointaine, pourtant !) de Noël; après lecture d'une de ses 44 listes de cadeaux, Christophe lui fait remarquer  que le montant total s'élève à quelque chose  comme... 400 euros ! Et là, notre angélique héritier de répondre : "ben oui, mais c'est Noël quand même !" Y'en a qui ne doutent de rien ! La natation, c'est l'éclate totale, et l'alto,  ça travaille dur ! On est dans une phase motivée, pourvu que ça dure ! Premières galères adolescentes pour  Louis qui se voit équipé d'un appareil dentaire pour cause de mâchoire trop petite (la faute à son père, sûrement !); avec ce genre de chose, on bave et  on zozotte, alors on a fait le compromis de ne le lui faire porter que la nuit, le week-end et les vacances... Parler anglais et allemand c'est déjà pas facile, alors avec un corps étranger  dans la bouche, vous imaginez ! Et puis on pourra toujours le revendre, vu son prix, il doit être plaqué or ce truc !! Les potins  Je dois à la vérité historique des excuses publiques pour mes derniers commentaires concernant notre machine à pâtes récemment acquise :  afin d'éviter le courroux maternel et les griefs de ma chère soeur, je dois affirmer que LA MACHINE A PÂTES POSSEDEE PAR MES PARENTS A FONCTIONNE PLUS QUE DE RAISON  DURANT NOS ANNEES DE VIE EN AFRIQUE, et ce malgré l'absence totale de souvenirs que cela m'évoque... Et gare à ceux qui oseraient prétendre le contraire, non mais !  Bienvenue à la petite Charlie débarquée chez Julie, Sébastien, Lili et Samuel. Et merci à Aurélie pour l'info !  Les travaux ont repris, pour ceux qui suivent : voilà le nouveau garage pourvu d'électricité, et l'estrade du bureau enrichi de fort utiles étagères... merci  aux  travailleurs !

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ALBUM

dimanche 31 octobre 2010

Octobre 2010

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CHRONIQUE

jeudi 30 septembre 2010

Chronique 09/2010

La chronique d'Elodie - septembre 10 Quand on ouvre nos mains Suffit de rien, dix fois rien Suffit d'une ou deux secondes A peine un geste, un autre monde Quand on ouvre nos mains Un simple geste d'humain Quand se desserrent ainsi nos poings Quand s'écartent nos phalanges Sans méfiance, une arme d'échange Des champs de bataille en jardin Le courage du signe indien Un cadeau d'hier à demain Rien qu'un instant d'innocence Un geste de reconnaissance Quand on ouvre comme un écrin Quand on ouvre nos mains...  Jean-Jacques Goldman, Nos mains Parce qu'en ce début d'année j'apprends à mes petits élèves à se donner la main, à accepter l'autre comme compagnon de ronde ou de jeu,  et que ce n'est pas toujours chose aisée... Parce que la version live 2002 de cette chanson est notre berceuse du moment dans la voiture... Parce que le clip réalisé lors de la tournée à laquelle nous avions assisté me donne toujours des frissons... Parce que quand je vois mes enfants lever les mains en chantant "un cadeau d'hier à demain", je me dis que ce sont des paroles qui sonnent juste... Parce qu'ouvrir ses mains, c'est aussi le premier geste pour ouvrir son coeur... Et parce que ce sont des paroles comme ça qui résonnent dans ma vie toute simple où, comme ce mois-ci, il ne se passe "rien, dix fois rien".... Septembre ensoleillé Les belles journées du début de mois ont permis à nos vélos de prendre l'air, enfin ! Direction le parcours de bosses, où les garçons  se sont essayés au tout-terrain (avec quelques chutes !);  Louis, réconcilié avec sa monture depuis qu'elle l'accompagne fidèlement au collège, a effectué quelques belles  figures,  mais c'est à  Paul, malgré son casque trop petit et son vélo tout juste assez grand, qu'est revenue la palme des plus beaux  décollages. Quand l'insouciance et l'inconscience se mêlent.... Tandis que  Marion explorait le terrain et effectuait des repérages en vue de ses futurs exploits, petite  Coline investissait  le programme de Sciences de la Vie et de la Terre de son frère aîné, à savoir : notre environnement proche. Bêtes et bestioles, marrons et bogues, feuilles et fleurs... ça carbure  sous le casque ! Les bosses attendront ! Il ne faut jurer de rien ! Il existe depuis 20 ans, je le fréquente depuis presque autant d'années, et je m'étais bien juré de ne jamais y tenir un stand : il s'agit bien sûr du vide-grenier de la commune. Et pourtant cette année, tirée par les garçons, poussée par Christophe, je me suis laissée convaincre... et voilà comment nous nous sommes retrouvés camelots sur  la place publique. Il a fallu tout d'abord préparer les "marchandises" : moment propice, évidemment, aux cris du genre "mais ça c'est mon jouet préféré !" ou "ah non, cette voiture je  la garde, je l'adooooore" (en version simplifiée pour Marion "à moi, ça"). Négociation pied à pied pour chaque objet, démonstration par A+B qu'au vu des mois passés par ledit objet dans le placard / sous le lit / dans l'abri de jardin, bref toutes les anti-chambres de la mort possibles, sa valeur sentimentale n'est que toute relative, empaquetage discret mais ferme... et nous arrivons au jour-J où dès 7h du mat (les malades !!), nous sommes invités à décharger notre barda (Synonymes : affaires, attirail, bagage, balle, chargement, colis, équipement, harnachement in le Dictionnaire de la langue française). Il faut donc  installer le stand, et toutes les bonnes volontés sont les bienvenues ! Puis la journée s'étire leeeennnnteeeeemeeennntt, au gré des averses et des bâches à installer / retirer / réinstaller... heureusement que parfois, des amis viennent nous  tenir compagnie : la journée passe plus vite ! Plus les heures passent, plus les prix baissent, nous vendons tout en lots,  voire même nous offrons gracieusement, le but étant de ne rien rapporter à la maison ! 18h, mission accomplie : les enfants ont empoché la somme nécessaire à l'achat de la boîte de Légos de leur rêves et  le stock d'invendus est minimal. Tout le monde est  ravi (enfin, moi je jure qu'on ne m'y reprendra plus !), surtout grâce à l'acquisition, pour la très modique somme de 2 euros, du fameux  jeu de société Pokémon convoité depuis plusieurs années... et introuvable ! Le  succès ne s'est pas démenti, et le jeu nous a déjà assuré quelques débuts d'après-midis fort calmes... Au bonheur de Marion... ... avec la visite de son  parrain Christophe et de toute la petite famille. Hélas, notre pitchounette n'a pas pu profiter pleinement  des réjouissances, mise K.O. par une vilaine otite et beaucoup de fièvre... Du coup, on a sorti  l'artillerie de câlins pour faire baisser le thermomètre ! Nous ne pouvions décemment  pas recevoir des amis sans  leur faire découvrir Just Dance, et Christophe s'y est lancé de bon coeur ! Après une bonne grosse sieste, la poupette  a pu sortir le bout de son nez vers la fin de l'après-midi. Il faut dire que le programme était alléchant, puisque, initiés par nos amis experts en la matière, nous avons fait  notre première séance de géo-catching : équipés d'un GPS, il s'agit de découvrir un "trésor" dont on a relevé les coordonnées. Balade familiale donc, et fructueuse puisque nous avons  réussi notre mission ! Les enfants ont tellement apprécié que nous avons  remis ça rapidement, avec  mamie Christiane comme recrue supplémentaire; hélas cette fois-ci nous avons fait chou blanc, et nous sommes  rentrés à la maison bredouilles ! Mais la balade était belle quand même... Auteur en herbe Comment trouver un bon moyen d'intéresser des enfants de 9 ans à la lecture ? En leur faisant découvrir un livre écrit par un enfant de 9 ans !  C'est ce qu'a décidé la maîtresse de Paul, cette année. Et ça marche ! Non seulement les enfants dévorent La Fleur de Lys à Noirmoutiers de Charles-Antoine Cros, mais en  plus ils ont adoré  rencontrer le jeune auteur lors d'une séance de  dédicace, accompagnés par leur maîtresse  (hors temps scolaire, s'il vous plaît ! Quand on dit que tous les enseignants sont des fainéants !). L'auteur a donc maintenant 12 ans, un âge encore bien proche de celui de nos petits lecteurs,   qui étaient impressionnés et curieux. De beaux souvenirs à raconter, et une trilogie dédicacée à conserver pour plus tard...  La main à la pâte Le Père José nous l'a dit : trop de consumérisme est néfaste au bonheur de l'homme. Par contre, il a bien insisté sur le fait que si ce qu'on achète permet  et de partager de beaux moments, alors c'est différent... Fort de cette réflexion, Christophe s'est donc (enfin, NOUS a donc) offert... une machine à pâtes. Pour  faire des pâtes, quoi. Tu sais maman, comme celle que tu avais quand on vivait en  Afrique, et que je ne crois pas avoir vu fonctionner une seule fois, et dont moi j'aimais tellement me servir pour jouer avec mes Barbies et mes Playmobils... Bref, malgré mon scepticisme, cet engin est arrivé dans ma belle cuisine flambant neuve et... elle est devenue un incroyable instrument de partage  père / fils ! Dès le premier essai, Paul a  été captivé, et il faut dire qu'en plus d'être bonnes, elles étaient  belles leurs pâtes ! Depuis, ils n'arrêtent pas de réclamer d'en refaire (genre les pâtes c'est devenu l'aliment  gastronomique par excellence ici !), et mes paquets de coquillettes et autres pennes dépérissent dans le placard... Avis donc aux futurs invités : si pâtes il y a , ce seront des pâtes maison !  Les potins  Il faut absolument que les cousins du 78 reviennent à la maison pour que l'on refasse des photos ! Sujets trop en mouvements, grimaces peu  flatteuses, chandelles disgrâcieuses... difficile d'obtenir un cliché de tous les enfants ! Seules  Mia et Marion ont accepté de nous offrir une photo convenable !  Et du côté des cousins du 14, il n'y aurait pas quelque chose à célébrer ??? Le cidre est au frais ??  Une dédicace spéciale à Papounet qui nous a fait des frayeurs ce mois-ci... on espère que le rétablissement est complet !

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ALBUM

jeudi 30 septembre 2010

Septembre 2010

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CHRONIQUE

mardi 31 août 2010

Chronique 08/2010

La chronique d'Elodie - août10 Dans notre rue, il y a Des autos, des gens qui s’affolent, Un grand magasin, une école, Et puis mon coeur, mon coeur qui bat Tout bas. Dans cette école, il y a Des oiseaux chantant tout le jour Dans les marronniers de la cour. Mon coeur, mon coeur, mon coeur qui bat Est là.  Jacques Charpentreau Malgré tout, malgré notre âge, que l'on ait des enfants ou pas, nous vivons au rythme de l'école... C'est la rentrée ! Une nouvelle année scolaire, de nouveaux élèves à découvrir... 27 gaminos de 4 ans dans ma classe, à partager avec ma collègue puisque je me suis de nouveau installée à mi-temps... Ce qui ne m'empêche pas de souhaiter à chacun de mes élèves, et à chacun de ceux qui sont dans vos familles, une année riche d'apprentissages, d'épanouissement, de jeux d'enfants  et de curiosité insatiable... Parce que malgré les crises et les difficultés, moi je crois en l'Ecole, et je veux qu'elle soit belle, qu'on la respecte et qu'elle porte des fruits  pour chacun... Quelle ambition ! Une nuit et des étoiles Pour une fois que nous étions chez nous pour la Nuit des Etoiles, Christophe et les garçons se sont rendus, lunette astronomique sous le bras, à l'observatoire voisin. Bien accueillis, bien conseillés, mes 3 hommes ont installé  leur matériel et sorti leur patience pour admirer la voûte céleste... hélas, un peu avare de  ses beautés ce soir-là. Pourtant, les badauds étaient venus en masse, et notre télescope familial s'est vite retrouvé pris d'assaut par les promeneurs, prenant Christophe pour un animateur  et les garçons pour de petits resquilleurs qui s'approchaient sans faire la queue ! Il a fallu que Christophe remette les choses au point pour que les garçons puissent observer quelques astres,  planètes ou autres joyeusetés célestes, avant qu'il renonce et remballe lunette, lentilles et manivelles, au plus grand soulagement des garçons ! L'année prochaine, c'est dit, la Nuit des étoiles c'est dans le champ derrière la maison, à la bonne franquette et en comité restreint ! Gîte d'étape : nouvelle vocation !  Sur leur route de retour des vacances, nous avons offert le gîte et le couvert à Tom-Tom et ses parents. Une petite étape trop courte mais  super sympa, où les enfants ont initié leur cousin et leur oncle et tante à  Just Dance, jeu fétiche du moment sur la WII. Bonnes parties de rigolade, où Marion et Thomas se  sont éclatés en dansant comme des petits foufous. Impossible de me rappeler ce qu'ils ont regardé, mais j'adore  cette photo où les 5 cousins semblent si passionnés par ce qu'ils voient ! Tominou au centre, les autres en corolle autour... c'est chouette la famille ! Tardive discussion entre "adultes" sur les affres de l'adolescence, les peurs et les risques, les expériences plus ou moins mémorables.... Pas de  quoi calmer mes inquiétudes de mère d'un futur collégien ! Mais il faut bien que jeunesse se passe... La prochaine fois, les Normands, on espère que la visite sera plus longue, à moins que nous ne nous décidions à venir nous-mêmes vous envahir ! Irrésistibles irréductibles Disney-addicts comme nous le sommes, nous n'avions jamais pris le temps d'aller faire un tour au Parc Astérix; alors en cette fin d'été,  orphelins de passeports Disney, nous avons tenté l'aventure. En famille réduite, parce qu'avec une mini-Youne ce n'est pas le parc idéal. Et en "nocturne", parce que c'est moins cher et moins chargé ! Ca commence comme à Disney :  on attend. Christophe en profite pour couper AVEC SON COUTEAU-SUISSE la frange de Coline !!! Et puis les  portes s'ouvrent, et nous pénétrons dans cet univers gaulois décalé charmant, où les garçons retrouvent leurs habitudes de Disneylandeurs patentés : Maman, tu gardes Coline, papa et nous on va faire les attractions "qui bougent". Que nenni ! On n'est pas chez Mickey ici, alors c'est  maman qui se colle aux sensations pendant que papa et Coline s'amusent ailleurs. Résultat des courses : après 1 attraction, maman  déclare forfait et reprend son rôle de Coline-sitter, laissant à l'Homme le soin d'affronter le  Goudurix et autre Tonnerre de  Zeus. (Zeus qui, soit dit en passant , porte une délicieuse culotte à fleurs sous son pagne !). Nous nous retrouvons pour une balade à travers le parc et  le temps, avant de nous réfugier  chez Obélix où nous étions invités pour  l'apéro. Le  cadre est vraiment joli et les  décors très bien faits, et nous profitons de tout malgré la pluie qui s'invite soudain à la fête. Juste le  temps de faire fuir les visiteurs ! C'est donc au sec et presque au calme que nous admirons ensuite le  feu d'artifice qui annonce la clôture du parc, et nous rentrons fourbus et ravis à la maison. Le lendemain, au petit déjeuner, les commentaires des enfants sont unanimes : C'était trop bien, le Parc Astérix !.... Mais...quand est-ce qu'on retourne à Disney ??? Quand je vous  dis qu'on est accros... En août à la maison... ... maman commence à préparer sérieusement sa future classe. Du coup, il faut bien que les enfants s'occupent tous seuls ! Et voilà comment  une fabuleuse  pyramide prend corps dans le salon (avec ô sacrilège ultime, l'utilisation des Yoko Tsuno de ladite maman !!!!!). Et puisqu'il faut immortaliser l'oeuvre, les  jeunes gens prennent eux-mêmes les  clichés de leur labeur, n'oubliant pas de  se mettre en scène pour donner une échelle à leur travail. Enfants de leur père, va... ils retiennent mieux  les leçons que moi ! Qui dit photos, dit photos rigolotes, alors c'est parti pour  les montages là encore inspirés des techniques paternelles... Doisneau n'a qu'à bien se tenir, la relève arrive ! Quand il fait beau, les plus audacieux osent faire trempette dans la  piscine du jardin, mais bien plus souvent, nous devons rester à l'intérieur où chacun s'occupe, selon ses goûts... Christophe a ainsi initié son cadet aux joies du  pilotage  d'hélicoptère sur simulateur... Amis d'été... Le soleil joue à cache-cache avec les nuages, et perd très souvent ! Mais de temps en temps, ses rayons nous permettent de profiter de  la piscine du Foyer. Et quand on s'y retrouve  entre amis c'est toujours plus amusant ! Après avoir profité d'une journée d'invitation chez sa marraine, Coline les a tous ramenés à la maison, histoire que nous célébrions  les 6 ans d'Elise... synonymes  de petits cadeaux et de  gros bisous, et d'un bon moment tous ensemble, empli de vrombissements d'hélicoptère(s), de "pestacles" fabuleux, de discussions maternelles plus ou moins angoissées... Que du bonheur ! L'heure de la rentrée a sonné... Grand Chelem pour nous cette année avec 1 héritier à la crèche, 1 en maternelle, 1 en élémentaire et 1 au collège ! Notre  collégien aborde ce nouveau cap avec sérénité. Il est heureux d'avoir à présent sa chambre à lui, même si la séparation  fraternelle a été émouvante. Au bout de quelques semaines de cours, le bilan est mitigé : des journées denses (après les premières grèves !), et longues, et nombreuses  (aîe le mercredi !), mais des devoirs en quantité raisonnable et une nouvelle liberté à goûter... à suivre. Notre  écolier de CM1 retrouve avec joie ses amis (lui, y'a pas à dire, il a besoin du "clan") et découvre sa fabuleuse nouvelle maîtresse qui déborde de projets de d'idées. Lui aussi a droit à une "nouvelle chambre" grâce à la générosité de tata Monique; le voilà maintenant propriétaire  d'une vraie mezzanine, et il n'est pas peu fier (même  si le premier soir, avouons-le, il avait peur de tomber !) Notre  écolière de Grande Section reste fidèle à elle-même, très enthousiaste et participante aux dires de sa maîtresse, et toujours très triste au moment de la séparation du matin ! Elle a commencé la danse classique pour son plus grand bonheur et le mien (ah ! le fantasme du tutu !) et poursuit le multi-sports pour le fun !Pipelette en herbe, on a du mal à  en caser une avec elle, mais elle est délicieuse dans ses réflexions : Moi quand je serai grande, j'aurai pas de travail, je penserai à mes enfants toute la journée. Mais  l'un n'empêche pas l'autre, ma puce !  Notre     mini-puce de dernière année de crèche marche dans les pas de son aînée; très joyeuse, active et moteur dans son groupe, nous nous séparons le matin sous ses cris déchirants et ses torrents   de larmes ! Vite asséchés dès que je disparais ! Elle n'est toujours pas grosse mangeuse, mais s'améliore quotidiennement pour le langage. Elle adore T'ours brun (merci Tom-Tom !)  et Choupî, et Ma'tine (malgré mon boycott !!). Poupées et nounours ont enfin une petite maman attentionnée qui nous dispute quand nous parlons fort alors   que ses bébés dorment ! De qui tient-elle ça ???   Les potins  Rien ne vaut un week-end de  baby-sitting pour se convaincre que les bébés, c'est plus pour nous ! Mais chez les autres, c'est super, alors félicitations  à Audrey et Karim pour leur petite Elsa.  J'espère que les nouveaux écoliers de petite section et de CP ont bien franchi le pas (et leurs parents aussi !); quant aux parents de nouveaux  collégiens... je suis de tout coeur avec vous !

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mardi 31 août 2010

Août 2010