lundi 30 avril 2007
Chronique 04/2007
La chronique d'Elodie - avril 2007
"On partira, toi et moi, où ? Je sais pas
Y'a que les routes qui sont belles, et peu importe où elles nous mènent
Oh belle, on ira, on suivra les étoiles et les chercheurs d'or
Si on en trouve, on cherchera encore"
Délaissant provisoirement nos trois "étoiles" (merci JJ pour la formule), nous avons rendu ce mois d'avril inoubliable en prenant la "route" pour un petit
périple amoureux... Suivez le guide...
En avril, sans les fils !
Qui eût cru que ce mois d'avril apporterait les prémices de l'été ? Et nous contraindrait à passer
nos week-ends au grand air ? Enfin, quand je dis contraindre, j'exagère évidemment, car il ne faut jamais nous pousser beaucoup pour
nous décider à partir en balade...
Aux
"Sables du Cul du Chien" en forêt de Fontainebleau par exemple... Dès le début du mois, petit dimanche tranquille avec
pique-nique et après-midi farniente
au soleil...Enfin, farniente pour moi, puisque les enfants ont retrouvé les joies de
la grimpette et des
sauts "périlleux"...même
Coline, avec plus ou
moins de bonheur (attardez-vous bien sur sa posture de réception post-saut
ici).
Même pas besoin de prendre la voiture pour s'aérer : une sortie familiale
en vélo fait tout aussi bien l'affaire, surtout si elle nous mène
jusqu'au parcours de santé où l'on peut de nouveau, à loisir, s'adonner à
son activité préférée !!! Là, par contre, il fallait un
comité de
réception pour
Coline, parce que ses vélléités de chute libre inquiétaient quand même les
grands frères gâteaux...
Et quand on avait la flemme de sortir les vélos, il suffisait de trouver assez d'énergie pour ouvrir la baie vitrée...
et hop ! au jardin ! En cette saison, il y a de quoi faire pour
entretenir et préparer la version 2007 du potager;
bref, pas de quoi s'ennuyer, pas de quoi lézarder non plus ! Même si
un bon barbecue ou une
petite pause en fin de journée
sont toujours les bienvenues !!
Louis 8.0
Une bougie de plus à souffler sur le
gâteau de Loulou, de nouveaux
défis à relever ... et une fête entre copains de
plus à son actif.
Au programme,
copains et
copines pour un après-midi de folie à la
piscine municipale, avec sauts, plongeons, batailles navales
et autres éclaboussures joyeuses.
Une fois tout le monde bien rafraichit, retour à la maison pour le
gâteau (qui, cette année, se voulait sportif !) et bien sûr
l'avalanche de cadeaux tous plus merveilleux les uns que les autres.
C'est vrai qu'à 8 ans, on est un peu grands pour les chasses au trésor ou les parties de chamboule-tout... mais on aime bien
quand même
un petit jeu du Facteur de temps en temps !! Bref, les fêtes d'anniversaire c'est super, surtout pour une petite fille
qui se retrouve d'un coup avec
plein de baby-sitters TRES attentionnés !
Merci à
Jean-Luc et
Christelle d'être venus partager ces aventures; on est partants pour vous rendre la pareille quand vous voulez !
Pluie de chocolats dans le jardin
Comme d'habitude, les fêtes de Pâques ont été marquées par la Vigile (Louis et Paul dans les bras de Morphée 10 minutes
après le début, et Coline en pleine forme jusqu'à la fin !!!) et la pluie, non pas de météorites, mais de
chocolats dans le jardin !
Pourtant cette année j'avais été très raisonnable, prévoyant une quantité consommable de sucreries pour chacun... Mais c'était sans compter
sur la générosité de nos voisins, qui ont ajouté à la collection en expédiant dans le jardin, pour les enfants, des oeufs... enrubannés
dans du papier bulle pour éviter la casse s'il vous plaît !!!
Bref, chacun s'est mis
en chasse avec enthousiasme, avant de
dévorer goûlument le fruit de la cueillette... Et on a encore un stock certain
à consommer, que les gourmands se le disent s'ils envisagent de passer chez nous !
Bain printanier
Comme papounet et Nicole avaient annoncé une visite pour la fin du mois, nous avions envisagé
une après-mid tranquille avec eeux à la maison... Mais les températures estivales des semaines précédentes finirent par nous décider pour
l'achat d'une piscine flamabant neuve ! Il faut dire que notre drenière acqueisition, datant de plusieurs années, commençait à
ne plus faire
le poids...
Bref, après quelques heures de
montage et de
remplissage, nous avons pu offrir à Papounet
un bain inaugural, sous le soleil d'avril...
(En réalité, le soleil était bien là mais la température de l'eau était quand même encore
hivernale!!)
L'événement du mois...
... c'était ? C'était ? Allez, un petit effort, ne nous faites pas croire que vous l'ignoriez,
on en a assez rebattu les oreilles de tout le monde... Mais oui mais oui, par un beau matin d'avril aux aurores, nous sommes partis en
"voyage de noces bis" ou "seconde lune de miel" (à l'américaine) pour
une croisière en Méditerranée...
Et oui, nous en rêvions depuis que nous avions débarqué de notre précédente croisière-voyage de noces il y a 10 ans... et cette année,
on est repartis !
Différences majeures avec celle d'il y a 10 ans :
1/ j'ai maintenant un appareil photo rien qu'à moi, et du coup
Christophe apparaît sur quelques clichés !!!
2/ 3 bambins ont laissé leur empreinte sur ma silhouette et dans notre coeur... du coup, j'angoissais un peu à l'idée d'être séparée d'eux
si longtemps (6 jours !!)... Mais les délices de se retrouver en amoureux (et de n'avoir ni repas à surveiller, ni couche à changer,
ni sieste à respecter !!) m'ont vite remis du baume au coeur (mère abominable que je suis !).
Bon alors je vais essayer de faire court mais ce n'est pas gagné car nous avons rapporté environ 400 photos...
Bref, nous partîmes donc de fort bon matin pour décoller d'Orly (grâces soient rendues à notre matinal chauffeur et néanmoins toujours ami Cyrille)
à bord d'un appareil non-DELAYED et non-CANCELLED (cf chronique de février 2005) en direction de Nice. Première bagarre discrète entre nous pour
que Christophe arrête de mitrailler les hôtesses, le hublot, les sièges,
l'aile de l'appareil, les nuages-qui-sont-très-très-jolis, l'issue de
secours, l'espèce de micro-croissant distribué en guise de petit déj, etc, etc...
Nous parvenons à Nice (45 photos au compteur déjà), et de là direction Savone en Italie où nous attend
notre palace des mers. Nous faisons partie des
premiers à emnarquer et on se croit dans un épisode de La croisière s'amuse...
Première étape : notre
cabine, histoire de se rafraîchir un peu ( et 6 photos de +). Ensuite : le buffet pour un
déjeuner "léger" sur le pont.
Ah oui, là il faut préciser un détail : sur un bateau, les heures de repas sont très strictes : café dès 6h45
Petit-déjeuner servi jusqu'à 10h30
Déjeuner à partir de 11h30 jusqu'à 15h
Goûter de 16h à 18h
Bar à pizzas ouvert à partir de 18h
Dîner de 19h à 23h
Buffet de minuit...à minuit
Sans oublier le room-service 24h/24... Du coup, si on veut, on peut passer sa semaine à manger... On n'est pas allés jusque-là mais on a ramenés
quelques kilos superflus...
Bon avançons, avançons... Première journée en mer. Il fait frisquet mais beau; nous nous offrons
une petite sieste
sur le pont ensoleillé... résultat :
coups de soleil de la mort. Le soir, au dîner de gala du (très très) BEAU commandant
Paolo Benini, nous avons l'air d'un
couple d'écrevisses sortant du sécheur
de Papi Robert; ça commence bien.
Le lendemain, première escale : Gabès, Tunisie. Comme nous ne faisons pas partie de ces touristes à l'esprit grégaire qui descendent du bateau
pour monter dans un car et par-ici-suivez-le-guide-une-deux-une-deux, nous décidons de louer
un taxi
pour nous rendre à Matmata (40 km) où nous attendent
des décors de tournage de Star Wars que nous avons promis aux enfants de photographier. Après une négociation d'enfer, nous prenons la route avec un
autre couple, moyennant 20 euros par personne; déjà là on est contents (on apprendra un peu plus tard que d'autres voyageurs ont loué
un taxi pour Matmata 50 euros...pour 5 personnes... !).
Notre chauffeur se prend pour Samy Nacéri dans la série des Taxi, et je récite silencieusement mas Je vous salue de la route tandis
que le GPS de Christophe s'affolle quand nous dépassons les 120km/h, sur des nationales à double-sens... Nous avons droit à la visite d'une
maison
troglodyte qu'on n'avait pas demandé, par ici la monnaie en sortant, et Christophe est obligé de prendre son air menaçant pour exiger que Taxi-man
arrête de nous trimballer chez tous ses cousins et nous dépose à l'hôtel de Star Wars.
Nous y parvenons enfin, c'est l'attraction principale de
Matmata,
et on comprend pourquoi (humour) : nous mitraillons
les restes de décor dans ce
qui est à présent un hôtel-restaurant, et
prenons la pose
pour notre progéniture. De là, nous négocions avec Taxi-man 2 heures de liberté pour aller
déjeuner
chez Abdul,
selon les conseils de Frédéric (au fait, Fred, depuis ta dernière visite, la famille d'Abdul s'est agrandie : il a maintenant
3 filles et 3 fils !!).
Taxi-man nous récupère pour nous ramener à Gabès où nous voulons voir la palmeraie; l'espèce de filou nous débarque dans un zoo planté de palmiers où nous admirons...
le genre d'animaux qu'on voit dans tous les zoos ! Il faut en plus boire du lait de palme (yeurk) dans des verres crasseux (yeurk yeurk) et en plus
payer pour ça !!! Comme on n'a que des euros, nos compagnons de taxi payent pour nous !
La colère gronde, Taxi-man le sent et nous dépose au
souk
où tout est "moins cher que gratuit" pour la "gazelle" que je suis... Nous négocions
âpremement le prix de nos djembés pour les garçons et de la djellaba pour la Cox, et réussissons à ne pas nous faire refourguer un chameau magique
qui semble être l'attrape-couillon le plus répandu.
Enfin, quand Taxi-man nous dépose au port, nous croyons nos aventures terminées pour la journée... Mais le voilà qui veut nous faire payer l'entrée du zoo
qu'on n'a jamais demandé à visiter !!! Je me cache la tête dans le socle du djembé pendant que mon homme brandit son refus avec humour... et
obtient gain de cause. Nous réembarquons épuisés et avec quelques 200 photos au compteur.
Deuxième escale : Tunis (Tunisie, donc). Cette fois-ci, les escrocs, on les repère à 100 mètres, et nous dégotons un autre taxi-man du nom d'Hedi
qui s'avère être la perle rare : il parle très bien le français et joue les guides touristiques. A notre demande, il nous emmène à
Sidi Bou Saïd;
c'est super joli, coloris blanc-bleu qui font rêver, odeurs de thés à la menthe et petites ruelles menant au Café des Délices...
Comme nous n'avons que quelques heures devant nous, il faut assez vite repartir pour Tunis où le souk nous attend; nous découvrons
l'ancien palais
du Bey, le
lit
où il s'allongeait entouré de quatre "gazelles", les
petites échoppes
où je négocie comme une grande une belle tunique brodée...
qui, selon Christophe, vaut la moitié de ce que je l'ai payée !!! Du coup cette fois-ci, nous remontons à bord tout guillerets; la journée se
termine sur une surprise au moment du dîner; j'aperçois du coin de l'oeil des gâteaux "bougités" sortir des cuisines et je ne peux m'empêcher de glisser
à Christophe :
"Ouh là là ! Y'en a qui vont se faire remarquer" et je compatis d'avance à l'embarras de ces pauvres voyageurs anonymes soudain placés sous le feu
des projecteurs. Et évidemment, dans le mille : le gâteau est pour nous !!! Pour notre "buon anniversiare du marriage" comme c'est si joliment
écrit dessus... Rien ne nous est épargné, la musique, les flashs, la bougie, la colonne de serveurs au garde-à-vous... je suis rouge de honte...
mais de temps en temps, c'est
bon la honte !
Troisième escale : La Valette, Malte.
C'est une île, pas très grande, et on en a marre des taxis... Du coup, solution idéale : louer une voiture pour la
matinée. L'office du tourisme nous indique une agence et un tarif de 30 livres maltaises, "soit 15 euros" nous dit-elle. Comme l'agence n'est pas en centre ville,
une voiture vient nous chercher pour nious y conduire. Nous remplissons les papiers dans un petit bureau empestant la cigarette et tout marche
comme sur des roulettes jusqu'au moment de payer... 60 euros ! Quoi ??? 60 euros pour 3 heures ? Pas question ! Du coup, le loueur appelle l'Office
de Tourisme, l'incendie, et on comprend que la brave hôtesse a dû faire une erreur de conversion (30 livres maltaises = 60 euros, et non 15 !). Bon,
mais qu'est-ce qu'on fait alors ? Le petit type est furieux, nous taxe 10 euros pour nous avoir amené jusqu'à l'agence, et nous indique un arrêt
de bus pour regagner le centre ville.
Evidemment, Christophe ne l'entend pas de cette oreille, et c'est le nez au vent et
le GPS en bandoulière
que nous attaquons "pedibus", comme diraient
les Minguet de Bruz, le trajet retour vers la Valette. Hélas, cette promenade qui aurait pu être fort agréable est un véritable calvaire pour moi :
le stress de nous perdre et de rater le départ du bateau, ajouté aux petites aiguilles vaudoues qu'un parent d'élève mécontent a certainement
planté dans la petite poupée me représentant, me provoque des noeuds à l'estomac, et j'avance pliée en deux, à la vitesse d'un escargot au ralenti...
Mais Christophe, lui, déambule la fleur aux dents et le coeur léger, repérant les
jolis paysages
qui défilent devant nous et m'encourageant sans
férir jusqu'à ce qu'enfin, au détour d'un parc, nous apercevions
notre bateau !!!
J'embarque comme une somnambule et m'effondre sur un des fauteuils
du Diva Club,
tandis que Christophe m'annonce fièrement que nous avons parcouru 15 km, "mine de rien" !! Nos péripéties maltaises ne sont pas terminées, car le
vent dans le port est si violent que le (très très beau) commandant doit attendre l'intervention d'un
remorqueur ridiculement minuscule
pour désengager
le paquebot et prendre la mer... Comme quoi on a toujours besoin d'un plus petit que soi !!
Quatrième escale : Naples, Italie. Plus précisément
Pompéi,
car de Naples nous n'avons vu que la gare maritime (bof) et la banlieue (bof bof)
puisque cette fois-ci nous avons pris le train. Alors vous voyez la gare du Nord, le "9-3" ? Ben, la banlieue de Naples, c'est pareil. Par contre,
Pompéi, c'est impressionnant; 45 hectars de fouilles, des kilomètres de
routes pavées,
des pièces aux murs presque intacts, un
amphithéâtre très
bien conservé, un
aperçu
de la vie à l'époque romaine qui vaut vraiment le coup d'oeil. En plus, comme nous sommes arrivés en même temps qu'un car
de touristes du bateau, nous avons eu droit à quelques explications en français... avant de nous éclipser pour visiter de nos propres ailes.
Il va bien falloir conclure, et je ne vous ai pas parlé des spectacles auxquels nous avons eu droit tous les soirs : danseurs, magiciens, acrobates,
sans oublier le supershow de la "grand vedette internationale de la chanson" :
DAVE !!!
Avec lequel Christophe semblait bien avoir un ticket,
au grand déplaisir de ma voisine de gauche dont je sentais le coeur vibrer chaque fois que le chanteur se tournait vers nous...
Heureusement (pour vous), tout a une fin, et c'est sous le soleil que nous avons accosté à Gênes, opint d'arrivée du bateau, et début de l'opération
Prison Break (si vous ne connaissez pas, les DVD sont en vente, achetez-les et offrez-les moi après les avoir vus!). Pourquoi un tel nom de code ?
Parce que les opérations de débarquement sont très compliquées; on ne descend pas comme on veut, on est répartis par groupes de couleurs suivant l'heure de départ
de notre train ou avion de retour. Arrivant à Gênes à 8h du matin, mais n'ayant un vol qu'à 19h30, nous ne devions débarquer qu'avec les "bleus",
dans les derniers... Mais voilà, nous avions la ferme intention de trouver un moyen d'avancer notre vol retour, et devions donc arriver à l'aéroport
de Nice le plus tôt possible; d'où l'idée diabolique et subversive de Christophe de descendre en nous mêlant à un autre groupe, en l'occurence les "blancs".
Aucun signe distinctif sur les passagers, mais de jolis badges sur les bagages... Après avoir passé sans encombre le premier
sas de sécurité, nous avons donc récupéré nos bagages
et rapidement retiré les badges bleus histoire de passer incognito. De là, nous repérons un car en partance pour l'aéroport de Nice et nous y engouffrons rapidement;
je tremble que nous soyons découverts et jetés à bas du car, et je transpire à grosses gouttes. Christophe me souffle "arrête d'hyper-ventiler comme
ça, tu vas nous faire repérer !" et se la joue plutôt décontracté en engageant la conversation avec nos voisins... Le car démarre enfin, mais il
me semble qu'un carabinieri me regarde bizarrement... Horreur ! Aurait-on déjà fait circuler nos photos avec la mention "fraudeurs - wanted" ???
Allons-nous être interpellés comme de vrais faux époux accusés d'espionnage international et de tricherie délibérée, condamnés à porter une cangue et à déambuler dans les rues
de Shanghaï tel Tintin dans Le lotus bleu ???? Ce n'est que lorsque nous nous engageons sur l'autoroute que je respire à nouveau et réalise que
Christophe est bien silencieux... retrouvant l'usage de mes membres, je constate avec effroi qu'il est livide, et que mes ongles profondément enfoncés
dans la chair de sa main gauche y sont peut-être pour quelque chose... Tandis que je retire lentement mes griffes, il me regarde, les yeux baignés de
larmes de douleur, et me souris tendrement : "on l'a fait ma chérie... on y est arrivé"...
Le happy end de l'histoire, c'est que nous retrouvons à Orly nos trois amours avec force bisous et câlins... à 21h30, après 7 heures
passées à l'aéroport de Nice à lire et relire Galaet Voici en attendant notre vol que nous n'avons pas pu avancer... Tout ça pour ça !
Donc voilà, c'était super extra génial, nous nous sommes retrouvés comme il y a dix ans, émerveillés, enthousiastes et prêts à recommencer... dans 10 ans !
Les enfants
Je fais vite... Tout va bien pour eux, toujours aussi
câlins
et complices.
Coline
va sur le pot de temps en temps (trivial mais ô combien important !), fait de la musique à la crèche et
à la maison , adore toujours autant
les livres et est une vraie petite fée bleue.
Paul vit décidément dans ses rêves; tandis que nous
étions en voyage, il s'est endormi sous la douche, et quand mamie Suzanne l'a réveillé, il lui
a dit : "je croyais que le bruit de l'eau c'était un bâton de pluie"... C'est vraiment un petit rêveur damour.
Louis en ce moment a un tic musculaire, et nous lui f
aisons la chasse; du coup pour lui tout devient tic : courir dans la rue, c'est un tic, faire
la roue dans le jardin, c'est un tic, ne pas vouloir faire ses devoirs, c'est un tic...
Les potins
Mois de mai, mois du muguet...et des années supplémentaires pour Lucas, mamie Suzanne, Cyrille, Jean-Marc, Coline
et Dorian...et moi aussi !
Christophe continue à s'éclater avec ses Légos Mindstorm...l'espace d'un après-midi, notre jardin
s'était transformé en station alpine avec
téléphérique privé à usage des Légos exclusivement !!!