Rouler les yeux fermer
Et ne plus rien penser
Du ciel en enfer
On se laissera glisser
Rouler vers les vallées
C'est beau la liberté
Puisqu'on peut rien en faire
Allez vas-y accélère
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rouler les yeux fermer
Plus besoin de parler
Comme tu es mon amie
Sur la terre endormie
Pour se faire oublier
On doit partir léger
Aussi loin qu'on espère
Allez vas y accélère
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Ni bon ni mauvais
Juste un jour parfait
Rien pour nous arrêter
C'est un jour parfait
Juste un jour parfait
Oui, parfois, c'est comme ça, j'ai envie de bouger et de profiter de chaque jour, parfait en lui-même parce que 5 paires d'yeux me sourient au réveil, parce que 5 paires de bras m'enlacent avant que je quitte la maison, parce que 5 journées se racontent à moi lorsque je rentre le soir.. et qu'entre-temps, j'ai râlé, j'ai rit, j'ai consolé, j'ai instruit, j'ai douté, j'ai avancé, j'ai espéré, j'ai vécu, quoi... alors voilà, "un jour parfait", sans oublier tous les jours qui ne le sont pas !
Toussaint à Paris
2 semaines de vacances pour 5/6° de la famille, cool... dommage que le 1/6° restant n'ait pu grapiller que 3 petites journées de congés... Qu'à cela ne tienne, nous en avons profité pour aller nous balader à Paris, au départ dans l'idée du Salon du Chocolat, au final pour une plongée dans le tout nouveau Lego Shop de l'Ouest parisien... des briques à n'en plus finir, quelques exclusivités, tous les univers côte à côte... joie et ravissement des enfants devant un tel déballage. A mi-chemin entre la ludothèque et le magasin, cet espace nous a donné bien du fil à retordre quant il s'est agi de faire sortir notre progéniture !
Mais Paris était promis, Paris il y eut donc... avec un arrêt dans une de nos cantines favorites encore toute Halloweenée, pour déguster des hamburgers XXL et rêver de New York... Avant de découvrir le village Joué Club du passage des Princes. Impressionnante galerie d'exposition et de vente, Playmobil, Légo (encore !), poupées, jeux de société, déguisements, jeux en bois... chaque monde a sa boutique... de quoi brûler d'envie de commencer à rédiger sa lettre au Père Noël...
Enfin, impossible de quitter la capitale sans aller saluer la Dame de Fer illuminée, pour lui présenter Goldorak...
Maison des jeux
Forcément, après une virée comme celle-ci, les placards ont été vidés de leur contenu, afin de procurer aux vacanciers de nombreuses heures de jeux calmes... Les nouveaux Légos ont fait amis-amis avec les moins récents... et nous avons enfin étrenné le puzzle offert par Josette, qui nous a demandé quelques bonnes mesures de patience... mais quelle fierté à la fin ! Merci Josette !
Pendant les vacances on ose aussi se lancer dans une partie de Monopoly (et on parvient même à la terminer !), et on découvre les stratégies plus ou moins fines des uns et des autres, même si je demeure résolument la moins douée pour ce genre d'aventure !
Les lumières de la ville
Depuis l'année dernière, et malgré sa malheureuse chute depuis l'échafaudage poubelles / escabeau, mon cher époux me tannait pour que nous investissions dans le dernier élément lumineux de la maison : la guirlande du "pignon haut". J'ai eu beau freiner des 4 fers et rouspéter tant et tant, il a fini par avoir gain de cause, et le voilà, par une belle matinée, harnaché comme pour l'ascension de l'Everest, en train de fixer la-dite guirlande. Je retiens mon souffle et prie tous les saints du ciel qu'il ne lui arrive rien... et c'est au bord de l'apoplexie que je le vois enfin revenir, triomphant et fier de lui. Allumage du dispositif (nous sommes tous là, yeux grands ouverts, un tel événement ça se savoure) et.... enfer et damnation : cette dernière guirlande est bleue... alors que toutes les autres sont blanches ! Erreur d'étiquetage sur la boîte ! Stupeur et tremblements, orage et désespoir, rien n'y fait : bleue elle est, bleue elle reste...
Que croyez-vous qu'il advint ? Ben oui bien sûr, dès le dimanche suivant Homme est de nouveau sur le toit avec une NOUVELLE guirlande garantie blanche, et accompagné par Goldorak of course, histoire de se tenir compagnie.... Là je dois avouer que j'ai laissé tomber apnée et prières, je me suis plongée dans mes divisions et mes accords du groupe nominal, et avant même que j'ai terminé de peaufiner mes évaluations, il était de retour sur la terre ferme... entier... et la guirlande - blanche - en parfait état de fonctionnement.... Depuis, les voisins essaient de soudoyer ma douce moitié afin qu'il vienne installer la même chose chez eux.... Ouaaaarfff... même pas en rêve ! Il l'a dit, je l'ai gravé dans le marbre (du séjour) : il ne montera plus sur ce toit jusqu'à ce qu'on quitte cette maison (et à ce moment-là, pourquoi montera-t-il sur le toit, je vous le demande ???) !!!
Disney d'hiver
Grands froids en perspective (enfin, pour moi, grands froids c'est moins de 12° hein...), donc équipement hivernal maximal pour notre sortie novembrière (novembrale ? novembreuse ?) à Disney. Oxygénation et défoulement au Parc Studio, traversée des passages secrets déserts pour atteindre le Parc Disney où trône le majestueux sapin devant lequel se presse une foule compacte de visiteurs (mais pourquoi viennent-ils toujours en même temps que nous ???? on va faire privatiser le parc...). Les décorations de Noël sont au rendez-vous, et les surprises aussi puisque Mickey prend la pose avec nous !
Marion réclame Autopia et joue les pilotes de bolides aussi à l'aise que ses frères (même s'il faut encore les grandes jambes de papa pour atteindre la pédale !)
Quant à Goldo, il ne se risque hors du sac que pour se la péter le temps d'une photo... faudrait pas que les fulguro-poings viennent à geler !
Les potins

